Ilme semble qu’il y a au moins deux niveaux de réponses. Le premier, c’est celui des experts de la finance. Quand le Los Angeles Times leur demande dans quelle mesure tout cela affecte les investisseurs classiques, la
1. Enfant d'une famille chrétienne 1858 à 1873 Charles est né en France, à Strasbourg, le 15 septembre 1858 et il a été baptisé deux jours après sa naissance. Mon Dieu, nous avons tous à chanter vos miséricordes Fils d'une sainte mère, j'ai appris d'elle à Vous connaître, à Vous aimer et à Vous prier Mon premier souvenir n'est-il pas la prière qu'elle me faisait réciter matin et soir "Mon Dieu, bénissez papa, maman, grand-papa, grand-maman, grand-maman Foucauld et petite soeur" ?… » Mais, maman, papa et grand-maman Foucauld meurent en 1864. Le grand-père prend chez lui les deux enfants Charles 6 ans et Marie 3 ans. J'ai toujours admiré la belle intelligence de mon grandpère dont la tendresse infinie entoura mon enfance et ma jeunesse d'une atmosphère d'amour dont je sens toujours avec émotion la chaleur. » Le 28 avril 1872, Charles fait sa Première Communion. Il est confirmé le même jour. 2. Jeune dans un monde sans Dieu 1874 à 1876 Charles est intelligent et il étudie facilement. Il aime beaucoup les livres, mais il lit n'importe quoi. Si je travaillais un peu à Nancy c'est parce qu'on me laissait mêler à mes études une foule de lectures qui m'ont donné le goût de l'étude, mais m'ont fait le mal que vous savez… » Peu à peu, Charles s'éloigne de la foi. Il continue à respecter la religion catholique, mais il ne croit plus en Dieu. Je demeurai douze ans sans rien nier et sans rien croire, désespérant de la vérité, et ne croyant même pas en Dieu, aucune preuve ne me paraissant assez évidente. » A 17 ans j'étais tout égoïsme, tout vanité, tout impiété, tout désir du mal, j'étais comme affolé… » J'étais dans la nuit. Je ne voyais plus Dieu ni les hommes Il n’y avait plus que moi. » 3. Militaire sans conviction 1876 à 1882 Après deux ans d'études à l'École Militaire, Charles est officier. Son grand-père vient de mourir et Charles reçoit tout l'héritage. Il a 20 ans. Pendant plusieurs années, Charles va chercher son plaisir dans la nourriture et dans les fêtes. On l'appelle alors le Gros Foucauld ». Je dors longtemps. Je mange beaucoup. Je pense peu. » Mais en octobre 1880, Charles est affecté en Algérie. L'Algérie lui plaît et ses habitants l'intéressent. La végétation est superbe palmiers, lauriers, orangers. C'est un beau pays ! Pour moi, j'en ai été émerveillé au milieu de tout cela des arabes en burnous blancs ou vêtus de couleurs vives, avec une foule de chameaux, de petits ânes et de chèvres, qui sont de l'effet le plus pittoresque. » Mais pour une affaire de femme, Charles refuse les conseils de ses Supérieurs. On lui enlève son emploi. A peine arrivé en France, il apprend que son régiment est envoyé en Tunisie. Une expédition de ce genre est un plaisir trop rare pour le laisser passer sans tâcher d'en jouir. - On m'a bien replacé en Afrique, comme je l'avais demandé, mais pas tout à fait dans le régiment que je voulais. Je fais partie d'une colonne qui manoeuvre sur les hauts plateaux, au Sud de Saïda. - C'est très amusant la vie de camp me plaît autant que la vie de garnison me déplaît . J'espère que la colonne durera très-longtemps ; quand elle sera finie, je tâcherai d'aller ailleurs où on se remue. » Le 15 janvier 1882, les 'colonnes' sont finies et Charles est de nouveau dans une caserne. Je déteste la vie de garnison… j'aime bien mieux profiter de ma jeunesse en voyageant ; de cette façon au moins je m'instruirai et je ne perdrai pas mon temps. » Et le 28 janvier 1882, il envoie sa démission de l'armée. 4. Voyageur sérieux 1882 à 1886 Charles décide alors de s'installer à Alger pour préparer ses voyages. Ce serait dommage de faire d'aussi beaux voyages, bêtement et en simple touriste je veux les faire sérieusement, emporter des livres et apprendre aussi complètement que possible, l'histoire ancienne et moderne, surtout ancienne, de tous les pays que je traverserai. » Le Maroc est tout proche, mais il est interdit aux Européens. Charles est attiré par ce pays très peu connu. Apres une longue préparation de 15 mois, Charles part au Maroc avec le Juif Mardochée qui sera son guide. En 1883, sur les terres du sultan, l'Européen peut circuler au grand jour et sans danger ; dans le reste du Maroc, il ne peut pénétrer que travesti et au péril de sa vie il y est regardé comme un espion et serait massacré s'il était reconnu. Presque tout mon voyage se fit en pays indépendant. Je me déguisai dès Tanger, afin d'éviter ailleurs des reconnaissances embarrassantes. Je me donnai pour Israélite. Durant mon voyage, mon costume fut celui des Juifs marocains, ma religion la leur, mon nom le rabbin Joseph. Je priais et je chantais à la synagogue, les parents me suppliaient de bénir leurs enfants… » A qui s'informait de mon lieu de naissance je répondais tantôt Jérusalem, tantôt Moscou, tantôt Alger. » Demandait-on le motif de mon voyage ? Pour le musulman, j'étais un rabbin mendiant qui quêtait de ville en ville; pour le Juif, un Israélite pieux venu au Maroc malgré les fatigues et dangers, pour s'enquérir de la condition de ses frères. » Tout mon itinéraire a été relevé à la boussole et au baromètre. » En marche, j'avais sans cesse un cahier de cinq centimètres carrés caché dans le creux de la main gauche ; d'un crayon long de deux centimètres qui ne quittait pas l'autre main, je consignais ce que la route présentait de remarquable, ce qu'on voyait à droite et à gauche ; je notais les changements de direction, accompagnés de visées à la boussole, les accidents de terrain, avec la hauteur barométrique, l'heure et la minute de chaque observation, les arrêts, les degrés de vitesse de la marche, etc. J'écrivais ainsi presque tout le temps de la route, tout le temps dans les régions accidentées. » Jamais personne ne s'en aperçut, même dans les caravanes les plus nombreuses ; je prenais la précaution de marcher en avant ou en arrière de mes compagnons, afin que, l'ampleur de mes vêtements aidant, ils ne distinguassent point le léger mouvement de mes mains. La description et le levé de l'itinéraire emplissaient ainsi un certain nombre de petits cahiers. » Dès que j'arrivais en un village où il me fût possible d'avoir une chambre à part, je les complétais et je les recopiais sur des calepins qui formaient mon journal de voyage. Je consacrais les nuits à cette occupation. » Pendant le court séjour à Tisint, je fis plusieurs connaissances tous les hadjs voulurent me voir. Pour le seul fait que je venais d'Algérie, où ils avaient été bien reçus, tous me firent le meilleur accueil; plusieurs, je le sus depuis, se doutèrent que j'étais Chrétien; ils n'en dirent mot, comprenant mieux que moi peut-être les dangers où leurs discours pourraient me jeter. » En arrivant à Agadir, je descendis chez le Hadj Bou Rhim. Je ne puis dire combien j'eus à me louer de lui, ni quelle reconnaissance je lui dois il fut pour moi l'ami le plus sûr, le plus désintéressé, le plus dévoué ; en deux occasions, il risqua sa vie pour protéger la mienne. Il avait deviné, au bout de peu de temps, que j'étais chrétien ; je le lui déclarai moi-même dans la suite cette preuve de confiance ne fit qu'augmenter son attachement. » Pendant 11 mois, Charles a souvent reçu des injures et des cailloux. Plusieurs fois il a même risqué d'être tué. Le 23 mai 1884, un pauvre mendiant arrive au poste frontière de l'Algérie. Il est pieds nus, maigre et couvert de saleté. Ce pauvre Juif s'appelle Charles de Foucauld. Cela a été dur, mais très intéressant, et j'ai réussi ! » Le monde scientifique de l'époque est enthousiasmé par le travail de Charles une véritable exploration ! Il a parcouru 3000 km dans un pays presque inconnu. C'est la gloire ! 5. Chercheur de Dieu 1886 à 1890 Mais Charles ne s'intéresse pas à cette gloire. Il quitte l'Algérie et s'installe près de sa famille à Paris. Il a 28 ans. Au commencement d'octobre de cette année 1886, après six mois de vie de famille 15, pendant que j'étais à Paris, faisant imprimer mon voyage au Maroc, je me suis trouvé avec des personnes très intelligentes, très vertueuses et très chrétiennes; en même temps, une grâce intérieure extrêmement forte me poussait je me mis à aller à l'église, sans croire, ne me trouvant bien que là et y passant de longues heures à répéter cette étrange prière "Mon Dieu, si Vous existez, faites que je Vous connaisse !" » Mais je ne Vous connaissais pas… » Oh ! mon Dieu comme Vous aviez la main sur moi, et comme je la sentais peu ! Que vous êtes bon ! Que vous êtes bon ! Comme Vous m'avez gardé ! Comme Vous me couviez sous vos ailes lorsque je ne croyais même pas à Votre existence ! » Par la force des choses, Vous m'aviez obligé à être chaste. C'était nécessaire pour préparer mon âme à recevoir la vérité Le démon est trop maître d'une âme qui n'est pas chaste. » En même temps Vous m'aviez ramené dans ma famille où j'ai été reçu comme l'enfant prodigue. » Tout cela c'était Votre oeuvre, mon Dieu, Votre oeuvre à vous seul... Une belle âme Vous secondait, mais par son silence, sa douceur, sa bonté, sa perfection... Vous m'avez attiré par la beauté de cette âme. » Vous m'avez alors inspiré cette pensée "Puisque cette âme est si intelligente, la religion qu'elle croit ne saurait être une folie. Etudions donc cette religion prenons un professeur de religion catholique, un prêtre instruit, et voyons ce qu'il en est, et s'il faut croire ce qu'elle dit." » Je me suis alors adressé à l'Abbé Huvelin. Je demandais des leçons de religion il me fit mettre à genoux et me fit me confesser, et m'envoya communier séance tenante... » S'il y a de la joie dans le ciel à la vue d'un pécheur se convertissant, il y en a eu quand je suis entré dans ce confessionnal ! » Que vous avez été bon ! Que je suis heureux ! » Moi qui avais tant douté, je ne crus pas tout en un jour; tantôt les miracles de l'Evangile me paraissaient incroyables; tantôt je voulais entremêler des passages du Coran dans mes prières. Mais la grâce divine et les conseils de mon confesseur dissipèrent ces nuages... » Mon Seigneur Jésus, vous avez mis en moi ce tendre et croissant amour pour vous, ce goût de la prière, cette foi en votre Parole, ce sentiment profond du devoir de l'aumône, ce désir de vous imiter, cette soif de vous faire le plus grand sacrifice qu'il me fut possible de vous faire. » Je désirais être religieux, ne vivre que pour Dieu. Mon confesseur me fît attendre trois ans. » Le pèlerinage en Terre Sainte, quelle influence bénie il a eu sur ma vie, quoique je l'ai fait malgré moi, par pure obéissance à Monsieur l'Abbé… » Après avoir passé la Noël de 1888 à Bethléem, avoir entendu la Messe de Minuit et reçu la Ste Communion dans la Ste Grotte, au bout de deux ou trois jours, je suis retourné à Jérusalem. La douceur que j'avais éprouvée à prier dans cette grotte qui avait résonné des voix de Jésus, de Marie, de Joseph avait été indicible. » J'ai bien soif de mener la vie que j'ai entrevue, devinée en marchant dans les rues de Nazareth, que foulèrent les pieds de NS, pauvre artisan perdu dans l'abjection et l'obscurité... » 6. Moine à la Trappe 1890 à 1897 Charles est très attaché à sa famille et à ses amis, mais il se sent appelé à tout laisser pour suivre Jésus. Et le 15 janvier 1890, il entre à la Trappe. L'Evangile me montra que le premier commandement est d'aimer Dieu de tout son coeur et qu'il fallait tout enfermer dans l'amour; chacun sait que l'amour a pour premier effet l'imitation. Il me sembla que rien ne me présentait mieux cette vie que la Trappe. » Tous les hommes sont les enfants de Dieu qui les aime infiniment il est donc impossible de vouloir aimer Dieu sans aimer les hommes plus on aime Dieu plus on aime les hommes. L'amour de Dieu, l'amour des hommes, c'est toute ma vie, ce sera toute ma vie je l'espère. » Charles est heureux à la Trappe. Il apprend beaucoup. II reçoit beaucoup. Mais il lui manque encore quelque chose. Nous sommes pauvres pour des riches, mais pas pauvres comme l'était Notre-Seigneur, pas pauvres comme je l'étais au Maroc, pas pauvres comme Saint François. » J'aime Notre-Seigneur Jésus-Christ, et je ne puis supporter de mener une vie autre que la Sienne… Je ne veux pas traverser la vie en 1ère classe pendant que Celui que j'aime l'a traversée dans la dernière... » Je me suis demandé s'il n'y avait pas lieu de chercher quelques âmes avec lesquelles on pût former un commencement de petite congrégation. » Le but serait de mener aussi exactement que possible la vie de Notre-Seigneur vivant uniquement du travail des mains, suivant à la lettre tous ses conseils... » Ajouter à ce travail beaucoup de prières, ne former que de petits groupes, se répandre partout surtout dans les pays infidèles si abandonnés et où il serait si doux d'augmenter l'amour et les serviteurs de Notre-Seigneur Jésus. » 7. Ermite au pays de Jésus 1897 à 1900 Le 23 janvier 1897, le Supérieur Général des Trappistes annonce à Charles qu'il peut sortir de la Trappe pour suivre Jésus, le pauvre artisan de Nazareth. Charles part en Israël. Il arrive à Nazareth ou les Sœurs Clarisses le prennent comme domestique. Le bon Dieu m'a fait trouver ce que je cherchais l'imitation de ce que fût la vie de Notre-Seigneur Jésus dans ce même Nazareth... » Dans ma cabane de planches, aux pieds du Tabernacle des Clarisses, dans mes journées de travail et mes nuits de prière, j'ai tellement bien ce que je cherchais qu'il est visible que le bon Dieu m'avait préparé ce lieu. » Mais Charles veut partager cette vie de Nazareth avec d'autres frères. C'est pourquoi il écrit la Règle des Petits Frères. J'ai tenu à composer une règle très simple, propre à donner à quelques âmes pieuses une vie de famille autour de la Sainte Hostie. » Ma règle est si étroitement liée au culte de la Sainte Eucharistie qu'il est impossible qu'elle soit observée par plusieurs sans qu'ils aient un prêtre et un tabernacle; ce n'est que lorsque je serai prêtre et qu'il y aura un oratoire autour duquel on puisse se serrer, que je pourrai avoir quelques compagnons... » En aout 1900, Charles rentre en France. M. l'Abbé Huvelin est bien d'accord pour qu'il reçoive le Sacerdoce. J'ai été passer un an dans un couvent, à étudier, et j'y ai reçu les Sts Ordres. Prêtre depuis le mois de juin dernier, je me suis senti appelé aussitôt à aller aux "brebis perdues", aux âmes les plus abandonnées, les plus délaissées, afin d'accomplir envers elles ce devoir de l'amour "Aimez vous les uns les autres comme je vous ai aimés, c'est à cela qu'on reconnaîtra que vous êtes mes disciples". Sachant par expérience que nul peuple n'était plus abandonné que les musulmans du Maroc, du Sahara algérien j'ai demandé et obtenu la permission de venir à Béni Abbès, petite oasis du Sahara algérien sur les confins du Maroc. » 8. Frère de tous à Béni Abbès 1901 à 1904 Le 28 octobre 1901, Charles arrive à Béni Abbès. Les indigènes m'ont parfaitement accueilli; j'entre en relations avec eux, tâchant de leur faire un peu de bien. » Les militaires se sont mis, à me construire, en briques sèches et troncs de palmiers, une chapelle, trois cellules et une chambre d'hôtes. » Je veux habituer tous les habitants, à me regarder comme leur frère, le frère universel… Ils commencent à appeler la maison "la fraternité", et cela m'est doux… » Chaque jour, Charles passe des heures au pied du Tabernacle. L'Eucharistie, c'est Jésus, c'est tout Jésus. » Quand on aime, on voudrait parler sans cesse à l'être qu'on aime, ou au moins le regarder sans cesse la prière n'est pas autre chose l'entretien familier avec notre Bien-Aimé on Le regarde, on Lui dit qu'on L'aime, on jouit d'être à Ses pieds. » Mais, à chaque instant on frappe à la porte. 'Tout ce que vous faites à l'un de ces petits, c'est à moi que vous le faites'. L'Evangile a déjà transformé la vie de Charles qui ouvre aussitôt la porte pour accueillir le Bien Aimé. De 4h30 du matin à 8h30 du soir, je ne cesse de parler, de voir du monde des esclaves, des pauvres, des malades, des soldats, des voyageurs, des curieux. » Dans cette région, Charles découvre l'esclavage. Il est scandalisé. Quand le gouvernement commet une grave injustice contre ceux dont nous sommes dans une certaine mesure chargé, il faut le lui dire, car nous n'avons pas le droit d'être des " sentinelles endormies" des "chiens muets" des "pasteurs indifférents". » Les murs de la Fraternité sont construits et Charles attend des frères. Priez Dieu pour que je fasse ici l'oeuvre qu'il m'a donnée à faire que j'y établisse un petit couvent de moines fervents et charitables, aimant Dieu de tout leur coeur et le prochain comme eux-mêmes; une Zaouïa de prière et d'hospitalité d'où rayonne une telle piété que toute la contrée en soit éclairée et réchauffée ; une petite famille imitant si parfaitement les vertus de JÉSUS que tous, aux alentours, se mettent à aimer JÉSUS! » Mais les Freres ne viennent pas. Je suis toujours seul, plusieurs me font dire pourtant qu'ils voudraient se joindre à moi, mais il y a des difficultés dont la principale est l'interdiction par les autorités civiles et militaires à tout Européen de circuler dans ces régions, à cause de l'insécurité. » En juin 1903, l'évêque du Sahara passe quelques jours à Béni Abbès. Il vient du Sud ou il a visité les Touaregs. Charles se sent attiré par ces gens qui vivent au cœur du désert. Il n'y a pas de pretres disponibles pour aller là-bas, aussi Charles se propose. Pour l'extension du saint Evangile je suis prêt à aller au bout du monde et à vivre jusqu'au jugement dernier... » Mon Dieu, faites que tous les humains aillent au ciel ! » 9. Ami des Touaregs 1904 à 1916 Le 13 janvier 1904, Charles part chez les Touaregs. Départ d'Akabli avec le Commandant Laperrine pour l'accompagner dans sa tournée. Son intention est de visiter les populations nouvellement soumises et de pousser jusqu'à Tombouctou... Ma vocation ordinaire, c'est la solitude, la stabilité, le silence... Mais si je crois, par exception, être appelé parfois à autre chose, je n'ai qu'à dire comme Marie 'Je suis la Servante du Seigneur'. » En ce moment je suis nomade, allant de campement en campement, tâchant d'apprivoiser, de mettre en confiance, en amitié... Cette vie nomade a l'avantage de me faire voir beaucoup d'âmes et de me faire connaître le pays... » Le pays étant presque toujours pauvre en eau ou en pâturage, les Touaregs sont obligés de se séparer, se disséminer, pour pouvoir nourrir et abreuver leurs troupeaux. Ils vivent par tout petits groupes, une tente ici, quelques tentes là... Partout on en trouve, mais presque toujours très peu ensemble. » Depuis longtemps, je demandais à JESUS d'être pour l'amour de Lui, dans des conditions analogues, comme bien-être, à celles où j'étais au Maroc, pour mon plaisir. Ici, comme installation, c'est la même chose. » Aujourd'hui, j'ai le bonheur de placer - pour la 1ère fois en pays touareg - la Ste Réserve dans le Tabernacle. » COEUR Sacré de JÉSUS, merci de ce 1er Tabernacle des pays touaregs ! Qu'il soit le prélude de beaucoup d'autres et l'annonce du salut de beaucoup d'âmes ! COEUR Sacré de JÉSUS, rayonnez du fond de ce Tabernacle sur le peuple qui Vous entoure sans Vous connaître ! Éclairez, dirigez, sauvez ces âmes que Vous aimez ! » Envoyez de saints et nombreux ouvriers et ouvrières évangéliques chez les Touaregs, au Sahara, au Maroc, partout où il en faut ; envoyez-y de saints petits frères et petites soeurs du Sacré COEUR, si c'est votre Volonté ! » Mon temps qui n'est pas employé à marcher ou à prier, est occupé à étudier leur langue. » Je viens de finir la traduction des Sts Evangiles en langue touarègue. Ce m'est une grande consolation que leur 1er livre soit les Saints Evangiles. » Unissez-vous à moi, aidez-moi dans mon travail, priez avec moi pour toutes ces âmes du Sahara, du Maroc, de l'Algérie. » Par la grâce du Bien-Aimé Jésus, il m'est possible de m'installer, à Tamanrasset… » Je vais rester ici, seul européen… très heureux d'être seul avec Jésus, seul pour Jésus… » Résider seul dans le pays est bon ; on y a de l'action, même sans faire grand-chose, parce qu'on devient 'du pays'. » Priez pour qu'un peu de bien se fasse parmi ces âmes pour lesquelles Notre Seigneur est mort. » Cette Afrique, cette Algérie, ces millions d'infidèles appellent tellement la sainteté qui seule obtiendra leur conversion; priez pour que la Bonne Nouvelle arrive et que les derniers venus se présentent enfin à la crèche de Jésus pour adorer à leur tour. » Il faudrait que le pays fût couvert de religieux, religieuses et de bons chrétiens restant dans le monde pour prendre contact avec tous ces pauvres musulmans et pour les instruire. » Serait-il possible de trouver des infirmières laïques, toutes à Jésus de coeur, consentant et souhaitant venir se dévouer pour Jésus, sans le nom ni l'habit de religieuses… » Ma présence fait-elle quelque bien ici ? Si elle n'en fait pas, la présence du Très Saint Sacrement en fait certainement beaucoup. Jésus ne peut être en un lieu sans rayonner. De plus le contact avec les indigènes fait disparaître peu à peu leurs préventions et préjugés. C'est bien lent, bien peu de chose ; priez pour que votre enfant fasse plus de bien, et que de meilleurs ouvriers que lui viennent défricher ce coin du champ du Père de famille. » Mon apostolat doit être l'apostolat de la bonté. Si l'on demande pourquoi je suis doux et bon, je dois dire "Parce que je suis le serviteur d'un bien plus bon que moi". » Poursuivi par la pensée du délaissement spirituel de tant d'infidèles, j'ai jeté sur le papier, à la suite de ma dernière retraite, il y a un an, un projet de Confrérie, d'Association catholique. La Confrérie que j'appelle Union des Frères et Soeurs du Sacré Coeur de Jésus» a un triple but produire un retour à l'Évangile dans la vie des personnes de toute condition ; produire un accroissement d'amour à la sainte Eucharistie ; produire une poussée vers l'évangélisation des infidèles. » Les Touaregs de mon voisinage me donnent les plus grandes douceurs et consolations; j'ai parmi eux d'excellents amis. » Mes travaux de langue marchent bien. Le Dictionnaire abrégé est fini et son impression commence dans quelques jours. Le Dictionnaire des noms propres sera fini en 1914 avec le Dictionnaire Touareg-Français, plus complet. Je pense finir en 1916 le recueil des Poésies et des Proverbes, et en 1917 les Textes en prose. La grammaire sera pour 1918 si Dieu me prête vie et santé. » Je ne puis pas dire que je désire la mort; je la souhaitais autrefois; maintenant je vois tant de bien à faire, tant d'âmes sans pasteur, que je voudrais surtout faire un peu de bien. » Demain, dix ans que je dis la Ste Messe dans l'ermitage de Tamanrasset ! et pas un seul converti ! Il faut prier, travailler et patienter. » Je suis persuadé que ce que nous devons chercher pour les indigènes de nos colonies, ce n'est ni l'assimilation rapide ni la simple association ni leur union sincère avec nous, mais le progrès qui sera très inégal et devra être cherché par des moyens souvent bien différents le progrès doit être intellectuel, moral et matériel. » Depuis deux ans, la guerre déchire l'Europe. Elle commence aussi à venir au Sahara. A 450 km d'ici, le fort français de Djanet a été investi par plus de mille Senoussistes armés d'un canon et de mitrailleuses. Après ce succès, les Senoussistes ont la route libre pour venir ici ; rien ne peut les en empêcher que le bon Dieu. » Mais Dieu ne l'a pas empêché et Charles est violemment tué le 1er décembre 1916. Quand le grain de blé qui tombe à terre ne meurt pas, il reste seul ; s'il meurt, il porte beaucoup de fruits... »
Lediplomate chilien Miguel Serrano, figure de l'ésotérisme d’extrême droite, avance par exemple qu’Hitler aurait survécu et se serait réfugié dans la Terre de la Reine-Maud en

À la fin du xixe siècle, le surnaturel est furieusement à la mode on explore les maladies mentales, on se pique de pratiquer l'hypnose… et on frémit en lisant des nouvelles et des contes fantastiques. En intégrant les dernières découvertes médicales, ses angoisses et ses hallucinations, Maupassant renouvelle le quoi le Horla est-il emblématique du conte fantastique ?I. Les caractéristiques du Horla1. Un conte fantastique• Le Horla est un conte fantastique, c'est-à-dire qu'il met en scène deux logiques opposées l'une rationnelle, l'autre trouve dans le conte fantastique un décor rassurant, quotidien, connu J'aime ma maison où j'ai grandi », des personnages familiers et pleins de bon sens ». Dans ce monde raisonnable font irruption des faits inexplicables […] et elle resta suspendue dans l'air transparent, toute seule, immobile » ; l'aspect surnaturel est renforcé par l'abondance de détails réalistes, le souci de décrire Horla, comme la plupart des contes fantastiques de la même époque, laisse au lecteur la possibilité d'interpréter selon l'une ou l'autre logique. Soit le narrateur est fou Décidément, je suis fou ! », soit le surnaturel existe Cette fois, je ne suis pas fou. J'ai vu… ».2. Le résumé de l'histoireLe narrateur tient son journal, du 8 mai au 10 septembre. L'action se déroule donc sur un peu plus de quatre mois.— Mai une bonne journée passée dans son jardin, à regarder les bateaux. Deux jours plus tard, il se dit malade et inquiet. Sa belle humeur l'a quitté. Passent deux jours sans que sa maladie ne le quitte. Son médecin le rassure. Malgré les médicaments, l'inquiétude persiste. Il note sa nervosité, sa peur de se coucher le soir. Il fait d'affreux cauchemars et rêve qu'on l'étouffe dans son sommeil, en pesant sur sa poitrine.— Juin son état ne s'améliore pas. La solitude du bois, lors d'une promenade, l'inquiète ; il a l'impression d'être suivi et a du mal à retrouver son chemin. Il décide alors de partir un peu, pour se changer les idées.— Juillet un mois plus tard, il reprend son journal et y raconte sa visite au Mont Saint-Michel. À la question faut-il croire à ce qu'on ne voit pas ? » le moine qui l'accompagne répond par l'affirmative. Le narrateur remarque que les cauchemars de son cocher sont semblables aux siens. Dès la deuxième nuit chez lui, ces rêves deviennent intolérables, au point qu'il songe à repartir. La nuit suivante, il remarque qu'une carafe d'eau, pleine la veille, se trouve vide le lendemain matin. Le narrateur décide de tenter quelques expériences seuls l'eau et le lait semblent disparaître. Il constate enfin qu'il ne peut s'agir de somnambulisme. Très effrayé, il part pour Paris, s'y distrait et se moque de ses frayeurs passées. Il assiste à une séance d'hypnotisme qui le trouble beaucoup.— Août dans le jardin, une rose, cueillie par une main invisible, est restée suspendue en l'air devant le narrateur. Il est persuadé de la présence d'un être invisible. Le lendemain, il se demande s'il ne devient pas fou et se sent obligé de rentrer, mu par une force obscure. Il a peur, décide de partir, sans y parvenir. À Rouen, il emprunte un livre sur les phénomènes surnaturels. Il n'arrive pas à se rendre à la gare et ordonne au cocher, contre sa volonté, de rentrer. Il s'aperçoit que les pages du livre tournent toutes seules. Il essaie de saisir l'être invisible qui s'enfuit par la fenêtre. Le narrateur décide de le tuer. La lecture d'un article scientifique sur une épidémie de folie » sévissant au Brésil le convainc que l'être invisible, qu'il baptise le Horla, s'apprête à envahir le monde. Il ne se sent plus maître de ses pensées. Le soir même, il tente d'attraper le Horla, se retrouve face à son miroir, qui ne lui renvoie plus son image. Le lendemain, il fait poser porte et volets de fer à sa chambre.— 10 septembre dernière page du journal. Le narrateur a enfermé le Horla dans sa chambre et a mis le feu à la maison. Tout à son projet, il avait oublié que ses domestiques y dormaient aussi. La seule chose qui le préoccupe, pourtant, est de savoir si le Horla est bien mort. Ce n'est pas si sûr…II. Les personnages1. Le narrateur• Le narrateur ne donne aucun indice concernant son identité. C'est un homme j'ai passé toute la matinée étendu sur l'herbe », normand, qui n'a pas besoin de travailler. Il est cultivé et curieux Je viens de lire ceci dans la Revue du Monde Scientifique » et analyse de façon très précise, presque scientifique, ses sensations un simple malaise, un trouble de la circulation peut-être, l'irritation d'un filet nerveux, un peu de congestion ». Il n'est ni fou ni crédule Les faits qu'il avança me parurent tellement bizarres, que je me déclarai tout à fait incrédule. », ce qui rend son témoignage plus lecteur de la fin du xixe siècle peut donc s'identifier aisément au narrateur, ce qui renforce la violence du surnaturel et la montée de l' Le Horla• Les preuves que réunit le narrateur de l'existence d'un être invisible » peuvent former une sorte de portrait du Horla. Son corps ne paraissait point posséder de contours nettement arrêtés, mais une sorte de transparence opaque. Il boit de l'eau et du lait sans paraître toucher à aucun autre alimen. » Il semble parfois craintif […] il s'était sauvé ; il avait eu peur, peur de moi, lui ! ».Le Horla, c'est l'Autre, mystérieux, qui cristallise les peurs J'ai peur… de quoi ? ». Son nom même exprime cette étrangeté hors de là, qui fait aussi penser au horsain, mot normand pour désigner l' Les thèmes1. La folie• Chaque page du journal commence par une sorte de bulletin de santé. Le narrateur est d'abord simplement souffrant Je suis malade, décidément !, Mon état, vraiment, est bizarre. ». Très vite, il fait référence à la folie Je deviens fou, décidément, je suis fou !, je me demande si je suis fou. ». Il décline alors le thème de la folie, sous toutes les formes connues par la science ou la religion hallucinations, démence, troubles, fantasmagories, délire » et jusqu'à la possession par le Le surnaturel• Le narrateur décrit précisément les manifestations surnaturelles auxquelles il assiste je vis, je vis, distinctement, tout près de moi » une rose cueillie par une main invisible, l'eau disparue de la carafe, les pages d'un livre tournant toutes seules, le reflet du narrateur kidnappé » dans son miroir. Dans le Horla, le surnaturel est donc essentiellement marqué par l'invisible L'air invisible est plein d'inconnaissables Puissances ».3. Le double• Maupassant connaissait les découvertes de son époque en psychiatrie. Il exploite le thème du double dans ce sens il y a dans l'être deux moi » contradictoires, l'un normal et logique, l'autre inquiétant et irrationnel. Le narrateur se sent menacé par ce second moi » devenu un autre un être étranger, inconnaissable et invisible, anime, par moments, quand notre âme est engourdie, notre corps captif qui obéit à cet autre ». Pour se débarrasser de ce double qui prend possession de lui, le narrateur n'a qu'une issue se tuer Alors… alors… il va donc falloir que je me tue, moi !… ».IV. Les techniques1. Le journal• Maupassant choisit la forme du journal intime. Le narrateur consigne le soir les événements de la journée. Il emploie la première personne. Cela permet de pénétrer les sentiments du personnage et lire son histoire sur le vif. Le journal se caractérise donc par un certain désordre le narrateur ne prend pas de recul par rapport à ce qui lui arrive ; il est encore sous l'emprise de ses angoisses quand il prend la plume. L'aspect décousu de ses remarques favorise le fantastique.• Le récit est irrégulier, fragmentaire le narrateur écrit parfois tous les soirs du 3 au 6 juillet par exemple, d'autres fois il passe un mois sans écrire le 2 juillet suit le 3 juin. Ainsi alternent les accélérations, moments de panique et d'affolement, et les La ponctuation• Maupassant utilise tous les signes et joue particulièrement avec les signes de ponctuation expressifs points de suspension, d'exclamation, d'interrogation. La ponctuation donne son rythme au texte. Au début du livre, elle est surtout constituée de points et de virgules. Dans les passages de peur ou d'affolement, le rythme est saccadé, les signes de ponctuation se bousculent Non… non… sans aucun doute… Alors ?… alors ?… » ; on relève alors huit signes de ponctuation pour sept mots, ce qui exprime bien la confusion du Qui est Maupassant ?• Guy de Maupassant travaille dans l'administration et fréquente Flaubert un ami de sa mère et Zola, qui resteront pour lui des modèles littéraires. Il publie aussi des contes et des nouvelles réalistes dans lesquelles il peint les bourgeois et les paysans normands. En 1877, apparaissent les premiers symptômes de sa maladie, la syphilis. Celle-ci qui provoque de nombreux troubles de la vue, du sommeil, et des maux de tête, qui ne cessent de s'aggraver. Il suit pendant deux ans les cours de Charcot, célèbre psychiatre, à l'hôpital de la Salpêtrière, à Paris, et publie le Horla en 1887. Interné en hôpital psychiatrique, il meurt en 1893.

Jen’ai pas été le seul à grimacer dans mon salon en me disant qu’il y a des moments où il vaut mieux se taire. Mais voilà, Dany Turcotte est payé pour parler, comme tout le monde, à Tout le monde en parle. Et parfois, dans le contexte d’une entrevue aussi sensible, il n’est pas simple de trouver les mots justes.
C'est un nouvel élément sur la mort de Mohamed Merah qui risque de faire polémique et que révèle, cet après-midi le le site internet du quotidien, le tueur aurait été criblé de balles, alors qu'il se trouvait... de dos ! On se souvient que la consigne donnée aux hommes du Raid était pourtant de le prendre les résultats partiels de l'autopsie, Mohamed Merah a succombé à deux tirs mortels. L’un a touché le forcéné sur le côté gauche du front, l’autre a traversé son abdomen, entrant par le flanc droit et sortant par le gauche". lSelon le Parisien, les résultats révèlent que le corps de Merah avait auparavant été littéralement criblé de balles », avec au moins vingt projectiles reçus sur le corps, dont la majorité sur les bras et les jambes, alors que le forcené se trouvait de dos." Plazadans Ce qu’il se passe quand un surdoué est mal diagnostiqué; MarcW dans Un dernier message – A last message; Val dans Comment aider; Gwendo dans Un dernier message – A last message; Gagou07 dans Q.I. or not Q.I. ? Là est la question (1 /12) Jy-Hell dans Le syndrome « PASS » : syndrome de stress prolongé d’adaptation Rechercher > Ce qu'il y a de fou dans le monde > tab Ce qu'il y a de fou dans le monde Auteur Communauté du Chemin Neuf, Communauté du Chemin Neuf Catégories chant à l'Esprit Saint Temps liturgiques autre E A Ce qu'il y a de fou dans le monde, E F B7 Voilà ce que Dieu a choisi. E G Cm A Ce qu'il y a de faible dans le monde, E B7 E Voilà ce que Dieu a choisi. Contrechant Viens Esprit de feu Viens Esprit d'amour Viens Esprit de Dieu Viens nous t'attendons. © - Communauté du Chemin Neuf ex-Artemas Ce monde est fou. Ce type est fou. Il faut le dégager !» affirme-t-il enfin. Ukraine: « la Chine observe », deux élus américains avertissent Biden . USA: une fusillade fait 9 morts à Cincinnati "Ce type est fou" Comme si cela ne suffisait pas, De Niro a ensuite attaqué le président sur sa santé, estimant qu'à ce jour, Trump n'était plus vraiment
Light Yagami Manga Anime Données personnelles Sexe Homme Naissance 28 février 1986 1989 dans l'anime Mort 28 janvier 2010 2013 dans l'anime 24 ans Groupe sanguin A Alias Kira Light Asashi L titre Deuxième L L-Kira Famille Sôichirô Yagami PèreSachiko Yagami Mère Sayu Yagami Sœur cadette Misa Amane Fiancée Taille 179cm Poids 54 kg Activités Lycéen Kira Étudiant Policier Aime La justice N'aime pas Le mal Statistiques Connaissance Conceptualisation Action Émotion Sociabilité Spécial Capacité d'interprétation Light Yagami pseudonymé Asashi, dit Kira, et appelé L ou "Deuxième L" après la mort du premier, et surnommé par le SPK L-Kira, est un humain japonais ayant reçu un Death Note, alors qu'il était encore à l'école. L'existence de ce lycéen japonais, extraordinairement doué pour son âge, est bouleversée à jamais le jour où il ramasse par hasard le Death Note, un cahier qui possède le pouvoir de tuer toute personne dont le nom y est écrit. Ayant pu vérifier toute sa puissance maléfique, il décide de l'utiliser pour éliminer les pires criminels, convaincu de contribuer ainsi à la création d'un monde parfait. Devant une vague sans précédent de morts de criminels par crise cardiaque, provoquée par Light Yagami qui a choisi de signer ainsi ses meurtres, l'opinion mondiale conclut à l'existence d'un seul et même assassin et le surnomme Kira » mot formé à partir de l'anglais killer », qui signifie tueur ». Biographie Histoire Light a grandi au Japon avec sa famille, qui se compose de son père, Sôichirô Yagami, directeur des forces de police japonaises, de sa mère, Sachiko Yagami, et sa jeune sœur, Sayu Yagami. Light est un étudiant de troisième année du secondaire 12e année à Daikoku. Après être arrivé premier à l'examen, il assiste à l'université. Il meurt des mains de son shinigami quand il inscrit son nom dans le Death Note. Découverte du Death Note Light trouve son monde pourri et ennuyeux. Un jour, il aperçoit un cahier tomber du ciel sur la terrasse de son lycée le Death Note. Il le ramasse. Bien entendu, au début il n'y croyait pas. Il le testa alors sur un tireur fou qui s'était retranché dans une école maternelle avec des enfants pour otages. Une fois le nom de ce dernier écrit et 40 secondes passées, le criminel meurt. Malgré ça, Light n'y croit toujours pas et veut tester à nouveau. Light éliminant des criminels. À son cours du soir, il souhaite éliminer un camarade Soudo mais finalement préfère ne pas s'en prendre à des personnes trop proches de lui. Une fois son cours terminé, il se mène dans un supermarché. Au moment où une jeune fille se fait harcelée par un Takuo Shiboumaru, il écrit dans le Death Note que ce dernier mourrait dans un accident de voiture, ce qui arriva. Il se rend ainsi compte que le Death Note détient vraiment le pouvoir de tuer. Il tuera alors que des criminels. Cinq jours plus tard, en rentrant de cours, sa mère lui demande les résultats de l'examen blanc national il arriva premier. Dans sa chambre, il rencontre Ryûk, le Dieu de la Mort. Celui-ci l'annonce qu'il l'attendait car il savait que ce Death Note appartenait bien à quelqu'un. Au début, il pensait que Ryûk voulait prendre son âme ou quelque chose comme ça, mais il comprendra qu'en réalité celui qui trouve le cahier le garde et que s'il n'en veut pas, il en perdrait tout souvenir le concernant. De plus, lorsque Light demande au possesseur originel du Death Note pourquoi l'avoir choisi lui, ce dernier répondra que le découverte du cahier oar Light relève du pur hasard, qu'il s'était contenté de "perdre" son cahier pour venir en observer les conséquences dans le monde des humains, trouvant celui des Shinigami "ennuyant", terme également employé par Light pour désigner le monde des humains. Light souhaite devenir le Dieu d'un monde nouveau un monde où la criminalité n'existerait plus. Il est rentré dans la lutte contre le crime car il s’ se met alors à tuer tout les criminels dont il connait le nom et le visage. Rapidement, la Police trouva étrange que plusieurs centaines de criminels meurt par crise cardiaque. Et l'affaire prit une ampleur international, sur internet, les gens ont commencé à croire que qu'un dieu était arrivé sur Terre pour détruire le mal, et commencèrent à l'appeler "Kira" ce surnom désignera Light pendant toute la série . Mais même si Kira est considéré comme un dieu, ses agissement n'en reste pas moins immoraux et la police veut arrêter Kira pour meurtre de sang-froid. Apparence Light a les cheveux bruns et les yeux de la même couleur. Il a tendance à s'habiller très proprement et est généralement vu vêtu de son uniforme scolaire, celui-ci étant composé d'une chemise blanche, d'une veste marron-beige et d'une cravate rouge. Grand et longiligne, il est considéré comme étant assez beau, une caractéristique soulignée par Misa Amane et Kiyomi Takada, parmi les autres.

Ily a bien eu des guerres, mais c’était de la barbarie venue d’ailleurs, même Alep, Grozny, Sarajevo, etc. – si bien qu’on peut oser dire : etc. Ce furent des injustices, des horreurs

FIGAROVOX/ANALYSE -Après l'assaut de Kiev contre des séparatistes à Sloviansk, les militaires russes entament des manœuvre à la frontière avec l'Ukraine. Une montée des tensions qui selon Alexandre Melnik, professeur de géopolitique, est le résultat du jusqu'au boutisme de Vladimir Melnik est professeur de géopolitique à l'ICN Business School Nancy - MetzTout semble actuellement réussir au maître du Kremlin. Il annexe la Crimée sans coup férir, grignote le reste de l'Ukraine, impose sa position à Genève aux Occidentaux et atteint les sommets de la popularité chez les Russes, qui, en proie à une extase nationaliste, applaudissent à ses conquêtes, comme si c'était une prolongation des JO de Sotchi. Il fonce comme un TGV, devenu unstoppable», sans aucune limite de vitesse, et sans plus s'arrêter dans les gares, au grand dam des passagers, médusés, ayant pourtant acheté leur billets. Je pense que même ses thuriféraires occidentaux les plus zélés sont, eux aussi, dépassés par la férocité et le jusqu'au-boutisme qu'il étale sans complexes. Poutine est aussi - et surtout ! - un fils spirituel du communisme, dans la filiation de Lénine Staline Brejnev Andropov. Un enfant de ce système, criminel, qui n'a jamais été jugé par l'Histoire. En fait, le président russe se croit tout permis, guidé par une vague intuition morale et historico-émotionnelle, une sorte de nouvelle pravda» la vérité suprême d'origine quasi divine, qui érige la Russie en sainte sauveuse de l'Occident dévoyé. Ainsi, il est l'incarnation même du nihilisme juridique, inhérent aux siècles d'histoire de son pays qui traite la loi comme un chiffon de il est aussi - et surtout! - un fils spirituel du communisme, dans la filiation de Lénine - Staline - Brejnev - Andropov. Un enfant de ce système, criminel, qui n'a jamais été jugé par l'Histoire. L'horloge mentale du président russe est restée coincée aux années soixante-dix, à un moment où il a reçu sa formation d'un agent du KGB, qui ne pouvait, à l'époque, percevoir le monde autrement qu'à travers le prisme de la guerre froide. A savoir, une confrontation sans merci entre nous», les Soviétiques, porteurs du Bien, et eux», les Occidentaux Les Etats-Unis avec leurs vassaux» européens, l'emblème du Mal. Et ce, sur fond de complot, de permanentes manœuvres en coulisses, de travail de sape au quotidien. Avec, comme seule force motrice, la haine de son alter ego, alimentée par le mensonge et l'ignorance réciproques, qui se reflétaient, dans son esprit, comme dans un jeu de peut lui expliquer que, depuis cette période, le monde a changé? Que la chute du Mur de Berlin a relégué le communisme au rang des antiquités de l'histoire? Que la dissolution de l'URSS, qu'il considère comme la plus grande catastrophe du XXIe siècle», doit être relativisée à la lumière des deux guerres mondiales ayant assombri ce siècle, marqué également par la Shoah et le Goulag, et beaucoup d'autres tragédies? Qui peut rappeler à Poutine, qui se targue de n'avoir jamais envoyé un seul mail, l'omniprésence des réseaux sociaux qui aplatissent chaque jour davantage notre planète?Et, enfin, pourquoi méprise-t-il tant l'Occident? Cette civilisation qui est, de toute façon, en reflux dans la globalisation en marche, faute de moyens de ses ambitions et face à l'irrésistible montée en puissance de nouveaux pôles d'excellence, en dehors de son aire culturelle? Les valeurs de l'Occident ne seraient donc que de l'enfumage », aux yeux de Poutine. Comme le baratin d'antan sur la supériorité » du système communiste, à quelques années de son effondrement. J'ose avancer un élément de réponse nourri au biberon du cynisme qui imprégnait son pays sous Brejnev, lorsque les porte-parole soviétiques, censés combattre l'influence maléfique du capitalisme», vouaient, en réalité, un culte à la société de consommation, d'inspiration américaine, il n'imagine même pas, aujourd'hui, que les valeurs fondatrices de l'Occident liberté individuelle, dignité humaine, prédominance de la loi, démocratie, société civile, indépendance de la presse, etc. peuvent être autre chose qu'une supercherie sémantique qui camoufle l'appât du gain. Ces valeurs-là ne seraient donc que de l'enfumage», aux yeux de Poutine. Comme le baratin d'antan sur la supériorité» du système communiste, à quelques années de son l'actualité est ponctuée d'épisodes qui le renforcent dans cette aberration l'ancien chancelier allemand Gerhard Schröder est devenu un salarié de son» Gazprom ; Tony Blair vend très cher ses conseils au régime autoritaire du Kazakhstan. Sans même évoquer Gérard Depardieu qui, selon la profonde conviction de Poutine, masque, derrière les incantations sur son amour de la culture russe, la triviale intention de ne pas payer d'impôts dans son pays gouverné par les est vrai que les contre-exemples, qui prouveraient le rôle fondamental des valeurs dans le fonctionnement du modèle occidental, sont, hélas, trop rares, à l'heure où nous sommes. Mais doit-on en déduire que ce regrettable oubli occidental de ses propres racines, qu'on observe actuellement, balaie tout son glorieux parcours civilisationnel, en le réduisant au mercantilisme à tout prix et à l'hypocrisie mesquine? Devons-nous accepter le fait que l'Occident, confronté aujourd'hui à une profonde crise identitaire, fournisse un alibi à un ancien lieutenant-colonel du KGB, revanchard, qui se déchaîne dans la reconquête de sa» vérité, atavique et contre-productive, à long terme, pour son pays?Car, étant un bon tacticien - calculateur, qui triomphe à court terme en profitant de la faiblesse morale de l'Occident, Poutine commet une faute historique, lourde de conséquences pour l'avenir de la Russie. Un avenir qui ne passera, en aucun cas, par un repli sur soi au nom du nationalisme exacerbé d'un autre âge, mais par une ouverture assumée sur le monde plat, interconnecté et interdépendant du XXIe siècle. Vu sous cet angle, le soutien de la démocratie en Ukraine n'est pas un blasphème perpétré par les ennemis de la Russie», mais un nouvel horizon stimulant pour la Russie elle-même, pour ses futures élites, dotées d'une perspective globale. Le plus extraordinaire, et le plus triste, dans ce contexte il a détruit le rêve d'Occident, nourri par la Russie depuis son origine. Un président tout-puissant - prisonnier de son passé, qui veut reconstituer, au prix d'un isolement de son pays, l'empire russo-soviétique sur la base ethnique là où il y a des Russes, il y aura la Russie», dit Alexandre Douguine, le principal idéologue de cette URSS-bis quel déni de réalité! Et quel gâchis pour la Russie, ce formidable pays, à vocation européenne, qui rate, une fois de plus, sa chance historique de bâtir une société moderne, prospère, libre, au diapason des attentes de ses jeunes générations, avides de réussir leur rêve qui, depuis la christianisation de la Russie kiévienne au Xe siècle, constitue une composante de son identité et la boussole de son intelligentsia. Sortir la Russie de l'espace civilisationnel occidental, en un laps de temps relativement court, - quelle prouesse» ni le long joug tataro-mongol, ni le tsarisme le plus rétrograde, ni aucun secrétaire du Parti communiste ne l'avaient jamais auparavant réussi»!Enfin, sa faute historique dépasse les frontières de son pays. Sortons des réticences de la realpolik. Et n'ayons pas peur de le dire Poutine est devenu un danger pour la paix dans le monde. C'est lui, et lui seul, qui porte, en dernier ressort, la responsabilité d'une escalade à impact destructeur, à l'échelle globale.

Lireaussi « Covid-19, et la vie bascula », Le Monde diplomatique, avril 2020. On se demande ce qui l’a piqué — en même temps il faut admettre : quand une vidéo appelée à demeurer dans la mémoire collective montre Agnès Buzyn, ci-devant ministre de la santé, déclarer fin janvier qu’évidemment le virus restera à Wuhan et qu’il n’y a aucune chance Loccasion ainsi de nous introduire très rapidement Daniel Wu, nouvelle recrue de cette saison. Si le « futur » vu par Westworld ressemble furieusement à celui de Dollhouse, ce nouvel épisode apporte son lot de mystères et de surprises. En jouant à nouveau sur les timelines et la simulation, Westworld montre ce qu'elle sait faire de mieux.
EUROPE1. Le président français Emmanuel Macron a exhorté mardi la communauté internationale à ne faire montre d’« aucune faiblesse, aucun esprit de compromission » face à la Russie, alors que la guerre en Ukraine entrera mercredi dans son septième mois. Les Européens prêts à soutenir le combat de l’Ukraine dans la durée
Guerreen Ukraine : ce qu'il faut retenir du 98e jour de l'invasion russe. Au 98e jour de l'invasion russe, les Etats-Unis ont annoncé mardi soir l'envoi de "systèmes de missiles plus avancés
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Cequ'il y a de fou dans le monde: par Cté du Chemin Neuf: Ce que Dieu a choisi Références bibliques : 1Co 1 Thème : Esprit-Saint Usage : Adoration-Confiance Nom du recueil : Undéjeuner que Magali Berdah a beaucoup apprécié :"Ça change de ces personnalités publiques hypocrites, qui nous jugent sans connaître notre histoire ni notre expérience en pensant qu’on est des ignorants", a-t-elle raconté dans les colonnes du Monde.Mais ce n'est pas tout ! A la suite de ce rendez-vous avec Gabriel Attal, Magali Dansun monde en plein doute, voilà que les médias nous "rassurent" en parlant de millions de morts possibles en cas de propagation de cette maladie avec e. Le Phorum !!!! Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Le Phorum !!!! Entrez dans le vaste univers des OniKami : Accueil Portail teQJj.
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