Lhistoire ne se rĂ©pĂšte pas, elle bĂ©gaie ! Comme vous tous/toutes, j’ai lu le tract d’annonce diffusĂ© en boites aux lettres et datĂ© du 6/10/08. A premiĂšre vue, on dirait bravo : “vous avez fortement exprimĂ© votre souhait de participer davantage Ă  la vie dĂ©mocratique de notre ville”.

Hommage Ă  RĂ©mi Fraisse sur le site de Sivens, le 2 novembre 2014 - SCHEIBER FRED/SIPA L’indignation suscitĂ©e par la mort de RĂ©mi Fraisse, le 26 octobre Ă  Sivens, victime d’une bavure policiĂšre lors d’un affrontement avec les forces de l’ordre, ne faiblit pas. Au contraire. L’onde de choc est telle que les manifestations se multiplient dans de nombreuses villes de France et qu’elles n’ont rien Ă  voir avec les violences de quelques centaines d’activistes venus en dĂ©coudre avec les flics ». Que les choses soient claires nous les condamnons. Comme nous dĂ©nonçons l’amalgame entre Ă©cologistes et casseurs entretenu depuis cette tragĂ©die par une bonne partie de la presse et du pouvoir. La radicalitĂ© des Ă©cologistes n’a rien Ă  voir avec ces suite aprĂšs la publicitĂ© Nous sommes Ă  la fois les hĂ©ritiers de Gandhi et de Thoreau, le pĂšre de la dĂ©sobĂ©issance civile. Quand nous arrachons un pied de maĂŻs OGM, nous le faisons Ă  dĂ©couvert, les mains nues, en acceptant les risques judiciaires et financiers de nos actions voulues pour alerter l’opinion publique sur les dangers d’une telle manipulation du vivant. C’est ainsi qu’en 2005, j’ai Ă©tĂ© condamnĂ© avec d’autres copains Ă  trois mois de prison avec sursis et Ă  100 000 euros de dommages et intĂ©rĂȘts, par la cour d’appel de Toulouse, pour une action de faucheurs volontaires dans un champ de Mainville, en juillet 2004. Rien Ă  voir avec la baston recherchĂ©e par quelques extrĂ©mistes. Une juste colĂšre Il n’en reste pas moins que la mort de RĂ©mi Fraisse, militant pacifiste, suscite une juste colĂšre d’une partie de la jeunesse et incarne le fossĂ© d’incomprĂ©hension entre les tenants d’un systĂšme Ă  l’agonie et ces zadistes » Ă  la recherche d’un autre monde, plus juste, plus Ă©cologique, plus partageux, plus humain. Comment interprĂ©ter autrement le silence assourdissant du prĂ©sident de la RĂ©publique, du Premier ministre et du gouvernement pendant ces 48 heures, qui ont paru si longues Ă  celles et ceux qui attendaient un mot de compassion pour la famille de RĂ©mi ? Ce sont pourtant les mĂȘmes qui, la veille, pleuraient des larmes de crocodile devant le cercueil de Christophe de Margerie, le prĂ©sident de Total, l’une des premiĂšres entreprises françaises
 Qui ne paie pas ses impĂŽts en suite aprĂšs la publicitĂ© Comment interprĂ©ter autrement la posture autoritaire du Premier ministre, rhabillĂ© en ministre de l’IntĂ©rieur pour l’occasion, s’acharnant Ă  dĂ©fendre des forces de l’ordre pourtant indĂ©fendables et affirmant que ce funeste barrage se ferait contre l’évidence du rapport des inspecteurs gĂ©nĂ©raux des Ponts, eaux et forĂȘts ? Ce sont deux visions du monde » qui s’affrontent, comme l’avouait en son temps Jean Marc Ayrault, Ă  propos de Notre-Dame-des-Landes. Une question dĂ©mocratique est en jeu Face Ă  un tel dĂ©ni et Ă  tant de mĂ©pris, les Ă©cologistes, sous le choc, ont rĂ©agi Ă  l’unisson. CĂ©cile Duflot a parlĂ© de tache indĂ©lĂ©bile » sur le gouvernement, elle a eu raison. Eva Joly et JosĂ© BovĂ© ont demandĂ© la dĂ©mission du ministre de l’IntĂ©rieur. Ils ont eu raison. Moi-mĂȘme, j’ai dĂ©clarĂ© qu’on ne construisait pas un barrage sur un cadavre. Je le maintiens, au risque d’ĂȘtre accusĂ© de surjouer l’émotion et le pathos. Mais je considĂšre qu’aprĂšs une telle tragĂ©die le chantier ne peut ĂȘtre poursuivi. N’est-ce pas ce qu’a dit le conseil gĂ©nĂ©ral du Tarn, vendredi dernier, en prenant la dĂ©cision de suspendre les travaux sine die ? En fait, c’est une question dĂ©mocratique dĂ©cisive qui est en jeu dans cette affaire. En France, en 2014, a-t-on toujours le droit de s’opposer Ă  un grand projet inutile et dangereux pour l’environnement ? Les conseillers gĂ©nĂ©raux du dĂ©partement considĂšrent que le fait d’avoir Ă©tĂ© Ă©lus leur donne tous les droits face Ă  l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, Ă  la protection de l’environnement et au dĂ©veloppement d’une agriculture qui respecte et la terre et l’homme. Ils servent leur clientĂšle et l’appareil de la FNSEA, malgrĂ© les avis dĂ©favorables de deux structures publiques. Ils n’attendent pas la publication du rapport commandĂ© par la ministre de l’Ecologie pour ordonner les travaux de destruction de la forĂȘt avec le soutien du suite aprĂšs la publicitĂ© Sommes-nous dans une dĂ©mocratie moderne qui respecte ses citoyens ou dans une monarchie, avec ses grands fĂ©odaux qui s’arrogent le droit de dĂ©cider des politiques publiques en se dispensant du contrĂŽle des citoyens ? Ici, comme Ă  Notre-Dame-des-Landes et ailleurs, ils se sont assis sur les procĂ©dures d’utilitĂ© publique qu’il s’agit de rĂ©former d’urgence tant elles ont dĂ©montrĂ© leurs faiblesses. Tel est l’enjeu politique soulevĂ© par la dĂ©cision d’imposer ce barrage. La grĂšve des mineurs de 1948 Hasard des circonstances ? Cette mĂȘme semaine, quelques rares articles de presse ont mentionnĂ© la reconnaissance et la rĂ©paration par la ministre de la Justice, Christiane Taubira, des consĂ©quences de la grande grĂšve des mineurs de 1948. Cette annĂ©e-lĂ , aussi, c’est un ministre socialiste de l’IntĂ©rieur, Jules Moch, qui avait la responsabilitĂ© du maintien de l’ordre. LĂ  aussi, il adopta une position intransigeante face Ă  des ouvriers qui se battaient pour leurs droits lĂ©gitimes. Pour contrer la grĂšve, Jules Moch mobilisa 60 000 CRS et soldats, qui se heurtĂšrent aux 15 000 grĂ©vistes retranchĂ©s dans les puits. Fin novembre, il leur imposa une cuisante reprise du travail. A la faveur de la lassitude des travailleurs et des divisions des syndicats, la rĂ©pression fut sĂ©vĂšre, avec plus de 3 000 licenciements, six morts et de nombreux blessĂ©s. Ce ministre bĂ©nĂ©ficiait pourtant d’une rĂ©putation honorable. SecrĂ©taire d’Etat dans le gouvernement de Front populaire de LĂ©on Blum, il avait notamment blanchi » le passage d’armes pour les rĂ©publicains espagnols, malgrĂ© la politique officielle de non intervention. Il fut un des 80 courageux parlementaires qui vota contre les pleins pouvoirs au marĂ©chal PĂ©tain, fut emprisonnĂ© et rĂ©sista Ă  l’ suite aprĂšs la publicitĂ© Mais on ne se souvient que d’une chose son comportement en 1948 face aux mineurs. Il devint et resta le symbole de la rĂ©pression policiĂšre par un gouvernement socialiste et entra dans la mĂ©moire collective du mouvement ouvrier et de la gauche française comme celui qui rĂ©prima fĂ©rocement les mineurs du Nord-Pas-de-Calais. Dans l’imaginaire du mouvement Ă©cologiste, Bernard Cazeneuve est en train de devenir un nouveau Jules Moch. Cazeneuve, l’écologie et le PS qui bĂ©gaie Il faut reconnaĂźtre que le passif est lourd. Comme maire de Cherbourg et dĂ©putĂ© de la circonscription de La Hague, il a Ă©tĂ© longtemps le porte-parole du lobby nuclĂ©aire Ă  l’AssemblĂ©e. Il n’a eu de cesse de soutenir le centre de retraitement de La Hague et la construction de l’EPR. Sa pratique de confrontation avec les Ă©cologistes ne fait pas de lui un interlocuteur crĂ©dible. Je me souviens encore de l’accueil musclĂ© un euphĂ©misme ! des syndicats, du personnel mis en congĂ© ce jour-lĂ  et des chasseurs venus en renfort, que nous avons reçu avec Daniel Cohn-Bendit au centre de retraitement de La Hague, en janvier 1999, en pleine campagne des europĂ©ennes. Un vĂ©ritable piĂšge organisĂ© avec l’aimable complicitĂ© du ministre de l’IntĂ©rieur de l’époque, Jean-Pierre ChevĂšnement, autre nuclĂ©ariste patentĂ©. Deux ans et demi tout juste aprĂšs l’élection de l’espoir en 2012, nous vivons une situation oĂč l’on a l’impression que ceux que nous avons Ă©lus tiennent le mĂȘme discours et ont les mĂȘmes pratiques que les sortants d’alors. Chaque jour qui passe est un clou de plus sur le cercueil de la gauche de suite aprĂšs la publicitĂ© Jules Moch Ă©tait le soutien indĂ©fectible de Guy Mollet, celui qui entraĂźna le PS de l’époque, la SFIO, dans la honte de la guerre d’AlgĂ©rie. Encore une histoire dĂ©sagrĂ©able Ă  se ressasser pour les dirigeants socialistes d’aujourd’hui. A l’époque aussi, la classe politique française tout entiĂšre s’était soumise aux desideratas des Ă©lus locaux, reprĂ©sentants des colons de l’AlgĂ©rie française. Il y a trĂšs exactement soixante ans, cette guerre qui allait entraĂźner la France au bord du prĂ©cipice, commençait Ă  la Toussaint, le 1er novembre 1954. L’histoire, dit-on, ne se rĂ©pĂšte pas, mais elle bĂ©gaie. Les dirigeants socialistes devraient s’en souvenir.

\n \n l histoire ne se répÚte pas elle bégaie
lhistoire ne se répÚte pas mais elle bégaie. by | Nov 7, 2021 | Uncategorized | 0 comments | Nov 7, 2021 | Uncategorized | 0 comments
ThĂšme L’Histoire se rĂ©pĂšte-elle ? » Essai de restitution du cafĂ© philo de Chevilly-Larue. 12 dĂ©cembre 2001 ModĂ©rateur et introduction Murielle Desmet Animateur Olivier Pascault Introduction Oui Dans l’histoire, ce sont toujours les mĂȘmes Ă©vĂ©nements qui se rĂ©pĂštent sous des formes diffĂ©rentes en apparence, mais ce sont toujours les mĂȘmes structures, les mĂȘmes motivations qui sont Ă  l’Ɠuvre. Les organisations sociales changent. Les rĂ©gimes politiques changent, ainsi que les mƓurs et coutumes. Mais l’histoire nous montre toujours les mĂȘmes conflits entre les hommes. Non l’histoire est un Ă©ternel changement, chaque Ă©poque constitue une aventure humaine entiĂšrement neuve. L’homme, contrairement Ă  l’animal, est un ĂȘtre en devenir. Parce qu’il est libre, qu’il n’est plus soumis Ă  l’instinct, ses choix constituent son histoire. Ils sont diffĂ©rents Ă  chaque Ă©poque et ne se rĂ©pĂštent jamais. L’histoire est un progrĂšs continu. Elle est le reflet de l’évolution de l’esprit de l’homme. DĂ©bat Guy-Louis intervient en posant ces questions Ce qui va nous intĂ©resser, ce n’est pas tant les faits historiques rĂ©pĂ©titifs, mais les causes. Les mĂȘmes erreurs produisent-elles toujours les mĂȘmes effets ? Est-il nĂ©cessaire de refaire les mĂȘmes erreurs pour progresser ? A partir des exemples de guerre, quelles leçons tirons-nous ? L’histoire c’est toujours la guerre qui se rĂ©pĂšte. -L’histoire est vaste; on peut essayer de dĂ©finir les pĂ©riodes grĂące Ă  la mĂ©moire et l’écriture exemple MĂ©sopotamie, Rome antique, Moyen age, Renaissance, pĂ©riode moderne, pĂ©riode contemporaine -’histoire, c’est l’évolution de l’humanitĂ©, les vicissitudes des peuples, pas seulement les guerres. – On ne sait pas tirer les leçons. A chaque fois l’on a dit “ plus jamais ça ! ” – Nous avons vu la RĂ©volution remplacĂ©e par le consulat, puis l’empire, puis la royautĂ© retour Ă  la case dĂ©part. » L’homme est le seul animal qui butte plusieurs fois sur la mĂȘme pierre . Toute notre intelligence mise au service de la science, n’a d’égale que notre incapacitĂ© Ă  agir sur nous-mĂȘmes. Des dĂ©fauts, des tares inhĂ©rentes Ă  l’homme CONVOITISE, INTOLERANCE, SECTARISME, sont les mĂȘmes causes qui reproduisent les mĂȘmes effets. – I existe dans la vie courante des scĂ©narios de vie le cours de l’histoire se rĂ©pĂšte, mais il n’y a pas de fatalitĂ©. Celui-ci peut se modifier comme se modifie le scĂ©nario de vie d’une famille qui, grĂące Ă  une psychothĂ©rapie, arrĂȘte le processus de rĂ©pĂ©tition. Pourquoi ne pourrait-on pas modifier le cours de l’histoire
.les rĂ©pĂ©titions de guerre

.par une prise de conscience de chacun. – MalgrĂ© la haine chronique entre les Anglais et les Allemands, on est arrivĂ©, par le dialogue, Ă  Ă©tablir des contacts, Ă  construire l’Europe, Ă  rĂ©aliser des jumelages. – Des intĂ©rĂȘts, des phĂ©nomĂšnes de dĂ©veloppement, ont engendrĂ© des civilisations hĂ©gĂ©moniques, empire grec, l’Egypte, RamsĂšs II, l’HellĂ©nisme, les Romains. Des courants d’échanges partant de l’Asie route de la soie vers la Palestine, l’Italie jusqu’en Allemagne et en Grande Bretagne sont accompagnĂ©s de guerres ; tous les affrontements sont passĂ©s par-lĂ , pour la conquĂȘte de territoires et le dĂ©veloppement des Ă©changes commerciaux, rĂ©pĂ©titions qui furent facteur de dĂ©veloppement. – Nombre de civilisations, au nom du progrĂšs, ont, maintes fois, Ă©tĂ© criminelles Conquistadors, conquĂȘte de l’Ouest, colonisation de l’Afrique, par exemple. Mais sommes-nous Ă  l’abri, sauf le Rwanda, sauf la Bosnie
.. Citation du poĂšte, Jules Laforgue » 
..et toujours cependant monte dans la nuit noire, le concert dĂ©solĂ© des appels de l’histoire
 » – es Ă©changes avec l’extrĂȘme Orient existent dĂšs la plus haute antiquitĂ©. – Quelle opinion sur l’histoire ? Comment peut-on juger la monumentalitĂ© de l’histoire ? Faut-il attendre la fin de l’histoire pour la juger ? Les peuples ont des histoires diffĂ©rentes. Nous sommes impliquĂ©s dans le cours de l’histoire, c’est nous juger nous-mĂȘmes, l’homme est perfectible. – Dans les pays sous dĂ©veloppĂ©s, pays colonisĂ©s, certains pouvoirs ont imposĂ© une forme d’histoire qui n’est pas la leur ! ! ! – Que penser de la destruction des bouddhas en Afghanistan ? – Quand on veut asservir les hommes, on s’attaque Ă  la culture, aux symboles on a brĂ»lĂ© des livres comme on dĂ©truit les bouddhas. La culture fait partie des liens entre les hommes, elle est prĂ©cieuse, elle fait obstacle aux dictatures, elle est facteur de libertĂ©. – L’histoire est une discipline qui commence au Moyen age philosophie, droit, Ă©tudes religieuses. – L’Histoire, n’est, fortement influencĂ©e par le philosophe Hegel. De ce courant intellectuel naĂźtront les sciences historiques. L’époque, c’est vrai, est propice aux questionnements. NapolĂ©on vient d’envahir l’Allemagne
situation qui rappelle des faits historiques. Hegel Ă©crivait dans La Raison dans l’Histoire » l’histoire universelle est la manifestation du processus divin, de la marche graduelle par laquelle l’Esprit connaĂźt et rĂ©alise sa vĂ©ritĂ© » – L’Europe n’est pas une idĂ©e neuve; le Roman de la Rose l’avait dĂ©jĂ  dĂ©crit au Moyen Ăąge. La rĂ©pĂ©tition est aussi une mĂ©thode en littĂ©rature. – Il faut ĂȘtre prudent avec les faits contemporains, l’histoire c’est l’anthropologie historique, c’est une façon d’aborder l’histoire, l’histoire des idĂ©es, se dĂ©faire de l’image telle qu’elle est enseignĂ©e. Il faut s’intĂ©resser Ă  l’histoire et la considĂ©rer dans son Ă©poque. – Evitons l’histoire thĂ©matique, l’histoire chronologique. Sans le passĂ© on ne peut pas Ă©voluer. La chronologie des Ă©vĂ©nements et l’échelle du temps sont lĂ  pour nous le rappeler. – Autrefois on disait un clochard est mort de froid, aujourd’hui on dit un SDF s’est Ă©teint d’hypothermie. L’histoire se rĂ©pĂšte avec des mots diffĂ©rents mais elle se rĂ©pĂšte. Souvenons-nous de l’AbbĂ© Pierre en 1954 qui dĂ©nonçait la misĂšre
 depuis sans cesse revient la pauvretĂ©, hĂ©las multipliĂ©e. Il y a quelques dĂ©cennies, continue l’intervenante, dans chaque village, chaque foyer, le clochard pouvait espĂ©rer une soupe
 histoire passĂ©e
 ! CommĂ©morer, c’est rĂ©pĂ©ter le passĂ©, pour Ă©clairer les faits et les causes la Shoah et le 14 juillet par exemple nous rappelle un intervenant. – Le brouillage de l’histoire, brouille le sens de l’avenir, les rĂ©visionnistes l’ont bien compris et savent que lorsque les hommes ont faim, qu’ils sont soumis Ă  l’intolĂ©rance, amenĂ©s Ă  la souffrance, alors se dĂ©clenche et revient la rĂ©volte. La violence est souvent l’expression du dialogue devenu impossible. – Les phĂ©nomĂšnes rĂ©pĂ©titifs, la disparition de certaines civilisations empire romain, l’empire aztĂšque, comment explique-t-on ses disparitions? – Au 20Ăšme siĂšcle, les Ă©changes sont diffĂ©rents, le progrĂšs technique a changĂ©, le monde est plus petit. Cependant, les conflits existent et l’histoire bĂ©gaie. Conclusion Paul ValĂ©ry » L’Histoire est la science des faits qui ne se rĂ©pĂštent jamais .
le dĂ©ficit des administrations publiques qui ne doit pas dĂ©passer 3 % du produit intĂ©rieur brut (PIB) ; – la dette publique comprise comme l’ensemble des dettes de l’Etat rĂ©sultant des emprunts que ce dernier a Ă©mis ou garantis. Celle-ci ne doit pas dĂ©passer 60 % du PIB ou doit se rapprocher de ce seuil.
LivresChronique. 1938-2018: l’histoire ne se rĂ©pĂšte pas, mais bĂ©gaie. Dans un essai lumineux, RĂ©cidive 1938, le philosophe MichaĂ«l FƓssel revisite un passĂ© qui hoquette.
Lhistoire ne se rĂ©pĂšte pas; elle rime. Proverbe populaire français a Ă©crit : Plus ca change, plus c’est pareil. DerniĂšre modification par thomz (05/08/2012 21h23) Mots-clĂ©s : chavagneux, christian, crises, financiĂšres, histoire, Ă©conomiques. Hors ligne #2 05/08/2012 21h49. Sinclair Membre (2011) RĂ©putation : 38 . Superbe initiative. L’histoire nous aide Ă  cadrer les
l'histoire ne se rÉpÈte pas elle bÉgaie" Cette phrase de Karl Marx ( ou qui lui est attribuĂ©e) peut ĂȘtre illustrĂ©e par cet extrait du discours d'investiture de Franklin Delano Roosevelt le 4 mars 1933 . Ça n'a pas pris une ride et ça peut parfaitement s'appliquer
LeFront unitaire des syndicats de l’Enseignement (Fuse) a dĂ©cidĂ© de lever son mot d’ordre de grĂšve. Mais cette dĂ©cision qui semble ne pas surprendre le Lhistoire ne se rĂ©pĂšte pas, elle bĂ©gaie, disait Karl Marx. Avec la derniĂšre rencontre du G7, on en a encore eu un exemple Ă©loquent. « Les jeux du Avec la derniĂšre rencontre du G7, on en a encore eu un exemple Ă©loquent.
\n \nl histoire ne se répÚte pas elle bégaie
Lhistoire ne se rĂ©pĂšte pas, elle bĂ©gaie ! vendredi 30 aoĂ»t 2013 par François DART. Voici ce texte en vers que Pierre-Jean Vaillard [1918-1988] avait Ă©crit en mai 1984 au moment de la manif pour l’École libre Vous allez sourire car on s’y croirait ! C’est fort bien Ă©crit et ça marche Ă  condition de changer d’époque et de nom Comme l’histoire se renouvelle
Conseil de Sages L’histoire ne se rĂ©pĂšte pas, elle bĂ©gaie ! vendredi 30 aoĂ»t 2013 par François DART Voici ce texte en vers que Pierre-Jean Vaillard [1918-1988] avait Ă©crit en mai 1984 au moment de la manif pour l’École libre Vous allez sourire car on s’y croirait !
Lhistoire ne se rĂ©pĂšte pas, elle bĂ©gaie ! Comme vous tous/toutes, j’ai lu le tract d’annonce diffusĂ© en boites aux lettres et datĂ© du 6/10/08. A premiĂšre vue, on dirait bravo : “vous avez fortement exprimĂ© votre souhait de participer davantage Ă  la vie dĂ©mocratique de notre ville”. “c’est un processus nouveau et
Puisferont leur propre famille, pĂšre et mĂšre sur les mĂȘmes ossatures. De marmots qu'imiteront leurs airs et leur prendront leurs chaussures. [JP Manova] Ne pas tomber dans la spirale : j'Ă©-j'Ă©-j'essaye. Mais l'histoire ne se rĂ©pĂšte pas, elle bĂ©-bĂ©-bĂ©gaye. Ne pas tomber dans la spirale : j'Ă©-j'Ă©-j'essaye. Mais l'histoire ne se
Certes l’histoire ne se rĂ©pĂšte pas, mais elle bĂ©gaie, disait Karl Marx Douze ans plus tard, l’économie mondiale est presque Ă  l’arrĂȘt
Lettres L'histoire ne se répÚte pas, elle bégaie! Robin Philpot - Montréal, le 12 juillet 2003 16 juillet 2003 Idées. Idées; Le jeu américain est
\n\n\n l histoire ne se répÚte pas elle bégaie
YsBZ.
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