Moije trouve ça fou que de nos jours, on puisse laisser mourir des petits oiseaux dans le caniveau sans réagir !! Quen pensez-vous ? Ce topi - Auteur : §sre072cG - Page : 6 - Pages : 8 - Dernier message : 18/11/2004
Harry Potter 2005 ~€~ Autres Lieux Magiques ~€~ A l'Ă©tranger Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Mer 11 Juil - 1415 La main de la jeune femme dans ses cheveux le fit tressaillir. Tressaillir comme elle tressaillait aprĂšs qu’Aloys, dans son amour, dans sa colĂšre aussi, ait lĂąchĂ© les questions qu’ils se posaient tous les deux depuis si longtemps. Aloys profitait de ce petit moment retrouvĂ© avec sa belle. NĂ©anmoins, il ne put la regarder dans les yeux, et tandis qu’elle jouait avec l’une de ses boucles, Ă  ses doigts, amoureuses, le jeune garçon perdait son regard dans l’azur de la mer. Zeph
, il lui lança un coup d’Ɠil, avant de s’éviter une nouvelle fois de ce visage d’ange. Aloys, je...Il releva aussitĂŽt la tĂȘte ; la voix de la jeune femme l’avait redressĂ©, comme si Ă  ses moindres dĂ©sirs, le jeune sorcier serait prĂȘt Ă  y rĂ©pondre. Ce qui Ă©tait le cas
 . Zeph hĂ©sitait. Combien de fois Aloys avait rĂȘvĂ© de ce moment, combien de fois il s’était construit ce scĂ©nario, combien de fois il s’était sentis, dans ses films oniriques, de nouveau Ă  cette femme, combien de fois, dans ses films oniriques, elle lui avait dit je t’aime », combien de fois il lui avait rĂ©pondu, je t’aime ». Mais, les rĂȘves ne sont pas la rĂ©alitĂ©, et rien ne se passait comme dans ces premiers. La nature humaine Ă©tait si Ă©trange, qu’il Ă©tait impossible de prĂ©parer sur mesure un discours convenu Ă  la situation. L’instinct des sentiments Ă©tait seul maitre Ă  voyage, comme je te l'ai Ă©cris, a une trĂšs grande importance. C'est en effet... Une question de vie ou de mort. La vie en eut quelques difficultĂ©s Ă  bien comprendre ce que Zeph tentait de lui dire. La vie en dĂ©pend
avait-elle lancĂ©e. La vie en dĂ©pend. Fallait-il prendre ces paroles Ă  la lettre ? La jeune femme Ă©tait-elle vĂ©ritablement en danger ? Avait-elle besoin de lui ? Etait-ce, seulement, en rapport avec lui ? Comment savoir ? Peut-ĂȘtre qu’il ne se rendait pas vraiment compte de la portĂ©e des sentiments de la jeune sorciĂšre
de leur importance. De leur force. Peut-ĂȘtre, bien que l’absence de Zeph fut l’une des plus terribles Ă©preuves qu’il ait dĂ» affronter, peut-ĂȘtre qu’il ne mesurait pas le degrĂ© d’amour qu’en lui, pour la jeune femme, existait. Elle tremblait. Aloys dans un mouvement de rĂ©confort et protecteur recouvra ses mains des siennes. Ses doigts glissĂšrent entre les membres de la jeune femme. NĂ©anmoins, il y mit une pression assez forte pour lui faire comprendre qu’il Ă©tait lĂ . Aloys, je... Je suis dĂ©solĂ©e, je... Je n'aurais jamais dĂ»... Tout ça... C'est... C'est complĂštement con, je ne comprends pas, je ne comprends pas pourquoi j'ai fais ça, Mer**, je suis vraiment trop... Trop stupide, je...Il voulait lui dire combien il l’aimait
et que le plus important Ă©tait de s’ĂȘtre retrouvĂ©. En outre, les larmes qui s’écoulaient des joues de la jeune femme le paralysĂšrent. Jamais il ne l’avait vu dans cet Ă©tat. MĂȘme la premiĂšre fois. Lors de la premiĂšre rencontre. Et pourtant, diable, elle venait de traverser un moment trĂšs douloureux. Toutefois, en cet instant
peut-ĂȘtre parce que ces larmes Ă©taient la consĂ©quence directe de la prĂ©sence du jeune homme, de leur histoire
il avait l’impression que ces larmes venaient de son cƓur Ă  lui
il avait l’impression que ces larmes Ă©taient Ă©galement les siennes. D’ailleurs, ses yeux commençaient Ă  le piquer sĂ©vĂšrement. Zeph enleva ses mains de celle d’Aloys pour se sĂ©cher les pommettes. Mais, au fur et Ă  mesure, elle les laissait s’écouler et tomber, tomber, tomber
comme ce mur qui les sĂ©parait durant ces derniĂšres Ă©tĂ© stupide, oui. Je ne sais pas ce que je cherchais Ă  me prouver. Je ne me comprends pas moi-mĂȘme. Je me hais moi-mĂȘme... Je me hais d'avoir fait ça, d'avoir cassĂ© ça. Parce que. Parce que tu... Tu me manques. J'ai besoin de toi. J'ai besoin de toi prĂȘt de moi, j'ai besoin de ton amour, j'ai besoin de ton sourire, besoin de ton visage pour rire, besoin de cette Ă©tincelle dans tes yeux pour me sentir meilleure...dit-elle en luttant contre de nouveaux sanglots. Aloys luttait Ă©galement. Il voulait tellement la prendre dans ses bras. La rassurer. La caresser. L’aimer. Mais, elle devait finir de parler. C’était important. Que toutes ces choses soient dites, pour qu’un nouveau feu brĂ»le sur leur amour. Il eut un silence
un silence qui annonçait une rupture choc. Aloys, je ne veux pas te balancer des mots doux d'amour Ă  l'eau de rose. Mais c'est plus fort que moi... Aloys, tu m'entends ? Je t'aime, Aloys... Je t'aime... Je t'aime !

PAM PAM

Elle lui prit ses mains. Fortes. Et lui murmura
Je suis amoureuse de toi...Aloys respira un grand bol d’air. Pffiou
que d’émotions. Il regarda la jeune femme. Elle lui caressait la joue. Il ferma les yeux ; puis les ouvrit de nouveau
mais plissĂ©s. Jamais on ne lui avait dit si belles paroles ; jamais on ne lui avait dit je t’aime ». Pas mĂȘme Zeph durant leur relation. Lui-mĂȘme ne s’y Ă©tait pas risquĂ©. Et là
.Elle venait de se lever, laissant Aloys la contempler de toute sa hauteur. Si belle, si belle. J'ai pris conscience de tout, sans toi. J'ai tout compris au pourquoi du comment, j'ai compris ce que je ressentais. Ces journĂ©es entiĂšres passĂ©es Ă  la fois prĂȘt et loin de toi m'ont fait rĂ©aliser Ă  quel point tu Ă©tais important Ă  mes yeux... Aloys, tu n'imagines pas combien je m'en veux. Comme j'ai pris du temps Ă  oser te le dire...Il s’en voulait aussi. De l’avoir laissĂ© partir. Jamais, il ne le referait. Aloys se leva Ă  son tour, et fit face Ă  sa bien-aimĂ©e, en cet instant, si proche de lui. Les jambes du jeune sorcier Ă©taient faibles. Mais il tentait de ne rien transparaitre. Il devait ĂȘtre fort. Lui montrer qu’il serait lĂ  pour elle ; il voulait ĂȘtre fort pour elle. Lui faire comprendre qu’elle pourrait compter sur lui, et se reposer sur son Ă©paule quand rien n’ira plus. Lui dire, qu’il serait lĂ  pour elle. Rien que pour bras d’Aloys se refermĂšrent sur le corps de la jeune femme, collĂ© contre le sien. Ce fut une Ă©treinte amoureuse, jalouse. Les deux amoureux se volaient l’un Ă  l’autre au monde. Ils ne se voulaient que pour eux. Personne d’autre. Plus rien n’existait. La peau chaude de la sorciĂšre l’apaisait. Certaines mĂšches de cheveux lui caressaient le visage. Aloys enfouit son visage dans le cou de Zeph
et y dĂ©posa de petits baisers. Il se sentait si bien contre elle. Tous les problĂšmes s’effaçaient, s’envolaient, sous ce coup de vent durent restĂ©s ainsi plusieurs longues minutes. Et aprĂšs ces longues minutes, Aloys dĂ©cida enfin de rĂ©pondre Ă  la dĂ©claration de la jeune commença-t-il en s’écartant lĂ©gĂšrement, bien que seuls quelques modiques centimĂštres les sĂ©paraient, nom de dieu, ce qu’il avait envie de l’embrasser !, Zeph
merci, merci. Merci pour tout. J’ai aussi rĂ©alisĂ© que sans toi, je n’étais plus rien, il lui caressa une mĂšche de cheveux, ces mois, seul, s’y proche, si loin de toi, on Ă©tait les plus durs de ma vie, avec la rĂ©vĂ©lation de son faux pĂšre, il avait Ă©tĂ© bien servis, oui, je t’en ai voulu, terriblement, j’avais besoin de toi, j’ai toujours besoin de toi. Mais, ton absence m’a fait comprendre les vĂ©ritables sentiments que je ressentais pour toi Zeph
et
il s’approcha, lui dĂ©posa un lĂ©ger baiser sur les lĂšvres, se laissant imprĂ©gner de ce parfum non pas oubliĂ©, mais manquĂ©, et, je suis Ă©galement amoureux de toi, chuchota-t-il comme pour que ces mots leur soit rĂ©servĂ©, je t’aime Zeph
Je t’aime, conclua-t-il avant de l’embrasser, d’un vĂ©ritable baiser d’amoureux
ce moment n’était qu’à eux
l****La jeune et belle serveuse revenait servir les deux invitĂ©s, ce beau jeune homme et cette garce, pensait-elle, sur que je vais me le faire, je vais lui en mettre pleins les yeux, se disait-elle comme pour se convaincre de sa beautĂ© Ă©vidente, mais
elle ne s’attendait pas Ă  ce qu’elle allait voir
à savoir deux amoureux dans les bras, lĂšvres contre lĂšvres, mains vagabondant, mains l’une dans l’autre
Est-ce que je pe
BAM !Si bien qu’elle en fit tomber son plateau sur le sol. Et bien que cela interrompit Zeph et Aloys dans leurs retrouvailles, il n’en fut pas moins Ă©vident, que ce ne fut pas eux qui ressentir le plus de honte, le plus de gĂȘne, mais bien la jeune serveuse. Pa
pardon. Pu
puis-je
vous ser
vir autre chose ?Aloys ne put s’empĂȘcher de sourire. Sa main vint attraper celle de Zeph, et il lui fit de nouveau face. Il l’embrassa de nouveau, respira son parfum, son odeur ; lui murmurant qu’il se sentait vĂ©ritablement bien. Le soleil Ă©tait haut dans le ciel, et la toile rouge donnait aux lieux une aura mystique et trĂšs romantique. La mer Ă©tait belle, aussi belle l’était Zeph, voire plus. Aloys Ă©tait comme le rivage, accueillant amoureusement, les vagues douces de sa belle ; aimant sentir sa fraiche caresse sur son corps, et sa prĂ©sence Ă  jamais inscrite en son ĂȘtre. Au plus profond. -Tu veux quelque chose ?, demanda-t-il Ă  sa sorciĂšre, tout en faisant attendre la serveuse. Laissant Zeph commander, Aloys demanda de nouveau un Coktail au jus d'orange et de quoi grignoter un peu. Le voyage avait Ă©tĂ© long, il commençait Ă  avoir un peu faim...puis, aprĂšs s'ĂȘtre de nouveau assit, sans lĂącher la main de la jolie brune, il reprit, peut-ĂȘtre que nous pourrions profiter de ce magnifique sauna aprĂšs...tu ne crois pas ? Lui dit-il, d'un regard malicieux. Zeph, je suis vraiment content d'ĂȘtre lĂ  avec toi...on a tellement de choses Ă  se dire...Tu savais que je me suis mis Ă  la guitare ?, enfin, ouais, tu dois savoir, vu qu'on habite dans la mĂȘme maison..., il sourit doucement, il Ă©tait tellement content de la retrouver. InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Ven 13 Juil - 1656 Il la serrait doucement contre elle. Elle sentait qu’elle n’était pas la seule Ă  le serrer fort, le serrer comme toute sa vie en dĂ©pendait
 Elle sentait sa chaleur contre la sienne, et cette douce pression rĂ©pondre Ă  la sienne, douce pression amoureuse, pression consolatrice, pression affectueuse
 Elle sentait dans ce geste comme une rĂ©ponse, comme un vague espoir, celui d’une rĂ©ponse similaire. Elle respirait son odeur, la respirait d’une force inouĂŻe Ă  l’en briser la cĂŽte. Elle retrouvait l’ĂȘtre qui, pendant plus d’un mois, lui avait Ă©tĂ© inaccessible. Ressentir si fort les mots qu’elle venait de prononcer la faisait presque trembler. Quelques baisers au creux de son cou la firent tressaillir, et dut-elle se contenir de ne pas sauter de joie face Ă  ce geste Merci, merci. Merci pour tout, j’ai aussi rĂ©alisĂ© que sans toi, je n’étais plus rien, ces mois, seul, si proche, si loin de toi on Ă©tĂ© les plus durs de ma vie. Oui, je t’en ai voulu, terriblement, j’avais besoin de toi, j’ai toujours besoin de toi. Mais ton absence m’a fait comprendre les veritables sentiments que je ressentais pour toi, Zeph, et
La jeune femme, son visage illuminĂ©, son regard adoucit et sa lĂšvre tremblante, se noyait dans ses yeux, se noyait dans ses mots, et irresistiblement le pressait d’avantage contre elle, comme pour l’inciter Ă  poursuivre, lui signifier qu’elle l’écoutait, qu’elle comprennait sans dĂ©sirer tout autant le couper. Elle se sentait monter, elle se sentait si soulagĂ©e. Elle se sentait toute lĂ©gerte, un Ă©norme poids ainsi envolĂ©. Sa main vint effleurer ses cheveux, toujours perchĂ©e au bout de ses lĂšvres, Ă  ces mots lui faisant tourner la tĂȘte
Et je suis Ă©galement amoureux de toi
 Je t’aime, Zeph
 Je t’ cligna des yeux. Une. Deux, puis trois fois, avant de se jeter sur ses lĂšvres. Pas au sens de les dĂ©vorer, mais simplement qu’elle avait bien trop attendu pour s’empĂȘcher de s’en emparer, de laisser les siennes y goĂ»ter. Il lui Ă©tait impossible de contempler son beau visage, sans s’empĂȘcher de rĂ©aliser ce geste, de rĂ©aliser ce geste tant de fois rĂȘvé  Tant de fois imaginĂ©, ces retrouvailles tant de fois imaginĂ©e dans les moindre dĂ©tails. C’était bien mieux que dans ses espĂ©rences. Elle n’en avait pas espĂ©rĂ© autant
 Aloys
 Elle l’enlaçait, fort, l’étreignant dans ses bras, le protĂ©geant de tout, le gardant pour elle et elle seule, et fermement rĂ©solue Ă  ne plus jamais – ĂŽ grand jamais – le laisser partir de ses griffes. Oui. Cet instant Ă©tait pour eux, Ă  eux seul, et Zepheryn dĂ©laissa tous les Ă©vĂšnements fastidieux de ces derniers temps pour s’abandonner enfin Ă  celui qu’elle aimait.* Elle se rappelait, ce soir-lĂ . Lorsqu’il la vouvoya. Lorsqu’elle le rencontra la premiĂšre fois. Il avait une allure singuliĂšre, et s’intĂ©ressa Ă  sa personne sans qu’il ne la connaisse, lui offrit sa bontĂ© sans aucun dĂ». Il y a de cela dĂ©jĂ  une annĂ©e. Le temps passait vite, mais son amour s’accroissait toujours d’avantage. Aujourd’hui-mĂȘme il lui semblait avoir franchit un nouveau pas dans leur relation. Elle ignorait encore que leur passĂ© respectif venait, en mĂȘme temps semble-t-il, de changer suite Ă  des Ă©vĂšnements singuliers. En effet avait-elle beaucoup de temps Ă  rattrapper, beaucoup de choses Ă  lui raconter et lui d’avantage encore. Mais pour l’instant demeuraient-ils enlacĂ©s, tĂȘte contre tĂȘte, mains dans la mains, s’échangeant quelques baisers et s’attrappant l’un et l’autre comme deux enfants se dĂ©couvrant. Est-ce que je peux
 voix de la serveuse qu’elle avait prĂ©cĂ©demment rejetĂ©e mauvaisement la fit lĂ©gĂšrement sursauter. Les bras de son amoureux cependant demeuraient collĂ© contre elle, comme s’il la protĂ©geait de tout, comme s’il resterait ainsi Ă  ses cĂŽtĂ©s quoi qu’il advienne. MalgrĂ© leur diffĂ©rence d’ñge il lui semblait parfois ĂȘtre la gamine insouciante et lui la devancer par sa maniĂšre d’ĂȘtre et son aptitude flagrante Ă  analyser les choses. Un fracas retentit sur la terrasse, oĂč le soleil se miroitait dans les draps rouges ainsi laissant se refletter sur le sol une lumiĂšre tamisĂ©e. La serveuse, rouge de honte, amassa son plateau et vint demander aprĂšs des excuses hĂ©sitantes ce qu’ils souhaitaient Ă  prĂ©sent. Sentir Aloys s’approcher d’elle et lui voler un baiser devant les yeux ahuris de celle qui ne cessait de le contempler la fit se sentir meilleure encore. Comme s’il voulait montrer qu’elle Ă©tait de nouveau Ă  lui
 Car malgrĂ© les apparences Zepheryn Ă©tait-elle facilement jalouse. Quoi de bien curieux Ă  un Aloys si charmant et attirant ? Volontiers, apportez de quoi manger et donc deux autres mĂȘmes cocktails s'il vous avait insistĂ© sur ces trois derniers mots, comme lĂ©gĂšrement pour compenser avec sa conduite excessive. Pour le reste elle saurait ce qu'elle avait Ă  leur prĂ©senter, et la brĂ©silienne voyait bien que son compagnon avait un petit creux. Tandis que la serveuse, leur lançant un dernier regard envieux tourna les talons, Zepheryn se dĂ©tacha lĂ©gĂšrement de son amoureux tout en posant sa tĂȘte au creux de son que nous pourrions profiter de ce magnifique sauna aprĂšs...tu ne crois pas ? Zeph, je suis vraiment content d'ĂȘtre lĂ  avec toi...on a tellement de choses Ă  se dire...Tu savais que je me suis mis Ă  la guitare ?, enfin, ouais, tu dois savoir, vu qu'on habite dans la mĂȘme maison...Zepheryn rĂ©pondit Ă  son sourire tout en malice, acquiesçant ses dires. De la dĂ©tente, voilĂ  ce qu'il leur fallait. Ils en avaient tout deux grands besoins. Et moi donc, comme je suis soulagĂ©e d'ĂȘtre enfin lĂ , avec jeune femme effleura sa main, gardant les yeux fermĂ©s, profitant de ce moment de tranquilitĂ© pour discuter normalement ; comme tu as ratĂ© beaucoup de choses, comme j'ai Ă©galement dĂ» en rater d'Ă©normes j'imagine. Evidemment que je t'entendais jouer ! Mais Ă  vrai dire je n'Ă©tais pas certaine que ça soit toi. Pas mal du tout pour un dĂ©but, vraiment !Zeph' releva la tĂȘte, lui souriant tendrement, jouant avec ses longs et fins doigts. Oui, ils habitaient ensemble. Et cette rĂ©alitĂ© s'installa enfin dĂ©finitivement dans sa tĂȘte. Auparavant devaient-ils se faire face chaque jour et se saluer avec une hĂ©sitation certaine, devaient contempler leur porte respective - cĂŽte Ă  cĂŽte d'autant plus -, devaient s'habituer Ă  cette gĂȘte constante... A prĂ©sent vivraient-ils ensemble, pourraient-ils dormir l'un contre l'autre, pourront s'habituer au quotidien de l'autre avec bonheur et non avec tristesse comme c'Ă©tait le cas jusqu'ici. Peut-ĂȘtre vivre justement continuellement ensemble, travailler ensemble les rapprocherait-il, ou au contraire les Ă©loignera-t-il tant cette proximitĂ© sera forte. Mais en cet instant Zepheryn se rĂ©jouissait seulement de cette condition de Aloys, j'ai entendu parler du Tournoi. Tu ne comptes pas t'y inscrire... N'est-ce pas ? Lui dit-elle subitement, relevant sĂ©rieusement sa tĂȘte prĂȘt de la sienne. Non pas qu'elle doute de ses capacitĂ©s - il Ă©tait fort habile et malgrĂ© son corps semblant frĂȘle il se dotait d'une agilitĂ© remarquable et d'une force maĂźtrisĂ©e -, mais elle ne voulait plus courrir aucun risque de le perdre, de le voir partir Ă  ce combat fou Ă  lier, sans mĂȘme en connaitre les Ă©preuves, dans un champ de bataille avec d'autres Ă©lĂšves oĂč la vie Ă©tait mise en danger. Elle trouvait Ă  la fois cette expĂ©rience bonne pour les tĂ©mĂ©raires dĂ©sirant faire leurs preuves, mais forte dangereuse tout de mĂȘme. Ses yeux inquiets scrutaient le visage de son amoureux, tentant d'y dĂ©celer la moindre rĂ©ponse. Zepheryn se leva, lentement, observant de la terrasse la vue qui leur Ă©tait offerte. On voyait les vagues s'entremĂȘler, le soleil s'y percuter avec douceur, mĂȘlant l'azurĂ© et le dorĂ© formant une splendeur Ă  couper le souffle. Les pĂątĂ©s de maisons de couleur et en brique blanches donnaient Ă  ce quartier une envie de s'y installer et d'y vivre, une envie de s'y isoler pour se faire plaisir, donnaient envie de vacances et de repos, de simplicitĂ© et de coquetterie. Zepheryn laissait ses pensĂ©es vagabonder, tandis que des bruits de pas vinrent troubler son harmonie. La serveuse Ă©tait de nouveau lĂ , ses bras chargĂ©s de deux plateaux. Si cette fois-ci elle tombait, elle risquait de se faire fort rĂ©primander. Mais la jeune femme, comme imaginant ce qui l'attendait en cas de seconde dĂ©faite, alignait ses pieds l'un devant l'autre d'une maniĂšre Ă  penser qu'elle prenait garde Ă  son propre Ă©quilibre. Zepheryn sourit tendrement Ă  son Aloys, effleurant une derniĂšre fois sa main avant de se mettre Ă  sa place. Elle avait un petit creux. Et les vives qui les attendaient avaient de quoi remplir le plus bougru des ogres. La jeune femme dĂ©posa les deux cocktails avant de dĂ©poser plusieurs assiettes sur la table rustique. En effet il y avait dans l'une des pita aux tomates sĂ©chĂ©es, aux poivrons rouges et au fromage de chĂšvre, puis des Arancini dans une autre, c'est Ă  dire des boulettes de riz farcies, des crostinis aux tomates et au pesto dans une troisiĂšme, et enfin des Bruschetta Ă  la mozarella et aux fines tranches de saumon arrosĂ©es d'une sauce basilic. Zepheryn sourit, satisfaite de la prĂ©sentation tandis que la serveuse s'en allait avoir posĂ© couverts et bros d'eau sculptĂ© Ă  la main. Bon appĂ©tit, ma petite abeille mon petit Aloys, si tu veux quelque chose n'hĂ©sites pas Ă  demander !Zeph' se pencha pour lui offrir un tendre baiser, avant de goĂ»ter Ă  une Bruschetta. MalgrĂ© la serveuse dĂ©jonctĂ©e qui, si elle continuait ainsi Ă  dĂ©vorer son amoureux du regard allait se retrouver la tĂȘte la premiĂšre dans le vide et les doigts de pieds Ă©cartĂ©s Ă  la faire saigner, il fallait reconnaĂźtre que leur cuisine Ă©tait excellente. Il ne manquait plus qu'une mandoline et un chanteur pour que l'ambiance soit digne d'un film romantique. D'ailleurs elle aurait bien aimĂ© l'entendre jouer de sa guitare, car mĂȘme s'il lui Ă©tait arrivĂ© d'entendre des bribes de notes de sa chambre, elle n'avait jamais pu encore Ă©couter du dĂ©but Ă  la fin un morceau en Ă©tant toute Ă  l' ce que j'ai manquĂ© dans ta vie, je veux tout savoir. Lui dit-elle soudain, entre deux bouchĂ©es. InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Sam 14 Juil - 2238 Aloys voulait profiter pleinement de ce moment. Aucun problĂšme venait le hanter, lui chatouiller l’esprit. Il n’y pensait mĂȘme pas, comme s’ils n’avaient jamais existĂ©. Etre ici, Ă  Venise, avec celle qui l’aimait, pour la retrouver, pour recommencer, Ă©tait la plus belle surprise qu’on ait pu lui faire depuis ces derniĂšres semaines. Le jeune homme Ă©tait pareil Ă  un exilĂ© sur une Ăźle dĂ©serte. Loin du folklore de la ville, ses dĂ©dales, sa magie. En outre, une chose pourtant le diffĂ©rencier d’un exilĂ© sur une Ăźle dĂ©serte. Certes il l’avait la mer qui s’étendait devant lui, le sable fin en contrebas sur lequel venait s’échouer les petits remous ; certes le cadre Ă©tait bien installĂ©, mais, contrairement Ă  un exilĂ©, Ă  ses cĂŽtĂ©s, il y avait quelqu’un. Et ce quelqu’un Ă©tait, pour Aloys, le monde tout entier. Ce quelqu’un qui lui murmurait des comme je suis soulagĂ©e d'ĂȘtre enfin lĂ , avec toi », ce quelqu’un qui lui effleurait la main, l’emportant dans des douceurs extrĂȘmes pour son cƓur abĂźmĂ©, ce quelqu’un qui venait de lui confier son ĂȘtre, ce quelqu’un Ă  qui il venait de donner son ĂȘtre. Oui, tu as ratĂ© beaucoup de choses, comme j'ai Ă©galement dĂ» en rater d'Ă©normes j'imagine. Evidemment que je t'entendais jouer ! Mais Ă  vrai dire je n'Ă©tais pas certaine que ça soit toi. Pas mal du tout pour un dĂ©but, vraiment. »Zeph, releva la tĂȘte qui Ă©tait alors au creux de cou du jeune homme, et lui sourit. Aloys la remerciait d’une petite caresse sur le bras. Il Ă©tait fier. Content. En l’absence de la jeune femme, la musique, dans la vie du jeune sorcier, s’était installĂ©e, pour combler ce vide. En outre, il avait trouvĂ© dans le maniement de sa guitare, et dans le plaisir de se laisser bercer par le vieux rock –c’était ce qu’il prĂ©fĂ©rait avant tout- un second souffle. Une autre façon de s’échapper de sa fausse libertĂ© nouvelle. En effet, comment, depuis qu’il n’avait plus de famille, considĂ©rer sa libertĂ© comme une nouvelle libertĂ©, alors que cette derniĂšre le retenait prisonnier dans de tristes et sombres pensĂ©es. La musique elle-mĂȘme dĂ©coulait d’une envie de crier, d’hurler sa douleur, de tout faire exploser. D’un jour au lendemain il s’était retrouvĂ© avec tout et rien Ă  la fois. Toute la vĂ©ritĂ©. Mais plus de barriĂšres, plus de rĂšgles, plus de famille, un passĂ© mensonger, plus de Zeph. Heureusement, cette derniĂšre lui Ă©tait revenue
pour ce qui Ă©tait des autres aspects de sa vie
surement que beaucoup d’eau devrait passer sous les ponts afin d’y remĂ©dier. Mais comme nous le disions tantĂŽt, toutes ses pensĂ©es, dans l’esprit du jeune homme, en ce prĂ©sent ensoleillĂ©, ou les mouettes et autres oiseaux chantaient et volaient, toutes ces pensĂ©es tapissaient dans un endroit sombre et lointain de son ĂȘtre. Dis-moi Aloys, j'ai entendu parler du Tournoi. Tu ne comptes pas t'y inscrire... N'est-ce pas ? » Lui dit-elle subitement, relevant sĂ©rieusement sa tĂȘte prĂȘte de la fut surpris, tant par la question que par le ton employĂ© pour la lui poser. Un ton inquiet. C’était peut-ĂȘtre l’une des choses qui lui avaient manquĂ© quand il Ă©tait en couple avec Zeph. L’inquiĂ©tude. Vouloir prendre soin de l’autre. Avoir peur qu’il se fasse mal, qu’il se blesse. Et bien que la jeune sorciĂšre semblait bel et bien sĂ©rieuse, Aloys ne put s’empĂȘcher d’ĂȘtre soulagĂ©. Tout redevenait comme avant, du moins cela en prenait bien le chemin. Il serra un peu plus fort sa Zeph contre lui, et pensa Ă  la bonne façon de lui rĂ©pondre. Bien sĂ»r qu’il allait s’inscrire au Tournois. C’était dĂ©jĂ  fait. Il avait envie de se tester, voir jusqu’oĂč il pourrait aller. En tant que Serpentard, il se devait de faire gagner le plus de point Ă  sa maison. Enfin, on lui avait proposĂ© de devenir prĂ©fet de la maison verte avec Axelle. Le jeune homme avait acceptĂ©, et cette dĂ©cision le poussait Ă  vouloir participer au Tournoi de Poudlard. En outre, il se doutait bien, mĂȘme si on parlait de Tournoi Magique, que le personnel de l’école magique, n’organiserait pas un Ă©vĂ©nement s’il Ă©tait aussi dangereux pour les Ă©lĂšves. On ne parlait pas du Tournoi des quatre corps de la jeune femme se dĂ©tacha d’Aloys, plongĂ© dans ses rĂ©flexions. Il n’avait pas remarquĂ© qu’elle l’avait regardĂ© intensĂ©ment, attendant une rĂ©ponse. Tant pis, il aurait l’occasion de lui en parler dans trĂšs peu de temps. Pourquoi pas autour d’un bon petit repas que s’empressait d’amener la jeune serveuse ? Le ventre d’Aloys fit savoir, discrĂštement, son soulagement, et, lorsque Zeph ce fut installĂ©, aprĂšs avoir contemplĂ© les magnifiques paysages qu’on leur offrait et on ne le lasse pas, Aloys prit place en face de sa bien-aimĂ©e. Sur la table se prĂ©sentait les deux cocktails qu’avaient, de nouveau, commander Zeph, des pita aux tomates sĂ©chĂ©es, aux poivrons rouges et au fromage de chĂšvre, puis des Arancini dans une autre, c'est Ă  dire des boulettes de riz farcies, des crostinis aux tomates et au pesto dans une troisiĂšme, et enfin des Bruschetta Ă  la mozarella et aux fines tranches de saumon arrosĂ©es d'une sauce basilic je t’ai piquĂ© ta phrase mwawahahaha, c’est pour les smileys que tu m’as volĂ© !. Aloys n’était pas encore un adepte de la cuisine Italienne. Bien qu’il soit serveur, il apprenait encore toutes les ficelles du mĂ©tier. Phill ne lui avait jamais vraiment appris les traditions culinaires des autres pays. En quoi cela pourrait intĂ©resser un jeune sorcier qui allait s’installer au dĂ©partement des transports magiques ? De plus, toute sa vie, avant son entrĂ©e Ă  Poudlard surtout, bien que c’était encore le cas d’une certaine maniĂšre, il s’était fait servir, non pas par des elfes de maison, chose que Phill trouvait ignoble –bien que les esclavager Ă©tait d’un doux plaisir-, mais par des cuisiniers professionnels. Aloys n’avait qu’à dĂ©guster ce qu’on lui mettait dans l’assiette. Aller voir en cuisine, parler au personnel, autre que dans un cadre professionnel, Ă©tait une ignominie pour une famille aussi riche que celle des Kleins ! –nom de famille de Phill. Riverside Ă©tant en rĂ©alitĂ© un nom d’emprunt, que le jeune sorcier s’était donnĂ© plus petit sans vraiment savoir pourquoi. Il lui avait semblĂ© naturel
et en cherchant un peu, dans des dossiers cachĂ©s dans le bureau de son oncle, il avait compris que son pĂšre Moldu se nommait Riverside. Les souvenirs Ă©taient parfois un phĂ©nomĂšne trĂšs Ă©trange
 Merci, dit simplement Ă  l’attention de la serveuse, avant de rĂ©pondre Zeph qui le fit encore sourire par sa remarque 
 si tu veux quelque chose n'hĂ©sites pas Ă  demander !, Merci , bon appĂ©tit Ă  toi aussi –petit oiseau au citron-. T’en fais pas, je n’hĂ©siterais pas » finit-il amusĂ©. DĂ©cidĂ©ment, Ă  force de sourire, il en aurait des crampes aux joues !Aloys goutta une derniĂšre fois les lĂšvres de la jeune femme, et commença Ă  manger. C’était vraiment dĂ©licieux. Se remplir l’estomac eut pour consĂ©quence une vague de bonheur et d’apaisement au niveau de son ventre. Nom d’un Xoumi. Qu’est-ce que ça fait du bien. Zeph Ă©galement semblait se rĂ©galer et devait admettre, malgrĂ© elle, que la jeune serveuse s’en tirait merveilleusement bien. Aloys en Ă©tait presque jaloux que cette derniĂšre parvienne Ă  faire un si bon repas. Le Bar des TĂ©nĂšbres, avec cette garniture exquise, augmenterait pour sĂ»r sa clientĂšle, et son chiffre d’affaire ! Aloys avait encore beaucoup de travail pour parvenir Ă  tel niveau de rĂ©galatitude j’ai inventé . Durant quelques longues secondes, le silence rĂ©gna, avec seulement le bruit de la mer et les couverts venant tinter les assiettes pour l’interrompre. Raconte-moi ce que j'ai manquĂ© dans ta vie, je veux tout savoir », finit par dire Zeph entre deux bouchĂ©es. Eh bien, commença-t-il, prenant ensuite la peine de finir de mĂącher, d’avaler, de boire un coup et de s’essuyer la bouche –tout cela en quelques secondes- pour continuer, il y a pleins de choses Ă  dire
, hum, il n’allait pas lui parler de sa famille, ça il n’oublierait pas de l’omettre, Tu dois savoir que je suis encore Ă  Poudlard, et qu’on vient de me proposer de prendre le poste de PrĂ©fet de ma maison Serpentard. Je pense que je vais accepter. Je me souviens que tu as Ă©tĂ© Directrice des Serdaigles...c’était comment ? Il prit une nouvelle bouchĂ©e, et puis pour en revenir Ă  ta question de tout Ă  l’heure, Ă  savoir si je me proposais pour le Tournoi des Quatre maisons, eh bien, sache que oui. Je me suis inscrit, il la regarda droit dans les yeux avec un sourire, mais bon, la premiĂšre Ă©preuve se dĂ©roule bientĂŽt, et je n’en suis pas le Champion, c’est Axelle Higgs, l’autre prĂ©fĂšte de Serpentard. Une chouette fille. Enfin bref, il jeta un coup d’Ɠil Ă  la mer, c’est vraiment beau Zeph, merci pour tout ce que tu as fait aujourd’hui, dit-il en lui caressant une main temporairement posĂ©e sur la table, merci. Pour le reste, tout va
pour le mieux, dit-il, menteur. Surement que d’autres choses allaient lui revenir au fil de leur conversation. Et toi alors, dis-moi, comment ça se passe au Bar ? Tu t’y fais ? L’ambiance te plait ? On a vĂ©cu une sale pĂ©riode aprĂšs l’attaque des Mangemorts il a fallu tout refaire
m’enfin, reconstruire pour mieux repartir, on en est un bel un exemple hein ? Finit-il tout sourire en levant son verre pour celle qu’il aimait. InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Dim 15 Juil - 2111 Tandis que les deux jeunes laissaient leur ventre se remplir sans toutefois faire d'abus, s'Ă©changeant des bribes de paroles et des sourires qu'eux seuls semblaient capable d'assimiler et de comprendre, Aloys reprit le point sensible qui - au premier instant qu'elle avait lu dans le Chicaneur de quoi il en retournait - l'avait inquiĂ©tĂ©e Ă  son dois savoir que je suis encore Ă  Poudlard, et qu’on vient de me proposer de prendre le poste de PrĂ©fet de ma maison Serpentard. Je pense que je vais accepter. Je me souviens que tu as Ă©tĂ© Directrice des Serdaigles...c’était comment ? Et puis pour en revenir Ă  ta question de tout Ă  l’heure, Ă  savoir si je me proposais pour le Tournoi des Quatre maisons, eh bien, sache que oui. Je me suis jeune femme cessa net de manger, avala mauvaisement la bouchĂ©e qu'elle venait de prendre, et se sentit sur le point de rejeter tout ce qu'elle venait d'avaler. Elle le contemplait, gardant les lĂšvres pincĂ©es, non de peur mais parce qu'elle n'avait aucune envie de lui lancer des reproches et encore moins de se disputer tandis qu'ils venaient de se rĂ©concilier. La jeune femme croisa cependant des bras - comme une enfant gĂątĂ©e n'ayant pas son joujou. Elle ne semblait pas en colĂšre, seulement deux rides se formant au creux de ses sourcils rĂ©vĂ©laient le bouillonnement intĂ©rieur qui naissait, l'attaquant par vagues funestes. Elle ne pipa mot, Ă©coutant ce qu'il avait Ă  dire pour sa dĂ©fense. Ecoutant sans rĂ©ellement s'inquiĂ©ter. Elle avait contenu sa joie intense pour cette proposition, Ă©videmment mĂ©ritĂ©e aux yeux de la jeune femme qui savait comme il Ă©tait aimĂ© partout. Oui, elle Ă©tait fort heureuse pour lui, et se retenait dĂ©jĂ  de ne pas l'enlacer pour lui tĂ©moigner sa fiertĂ© et son honneur d'ĂȘtre sa compagne. Elle le contemplait avec des yeux petits - non pas vautrĂ©s et mesquins mais... D'avantage emplis d'une tristesse et d'une inquiĂ©tude flagrante. Mais bon, la premiĂšre Ă©preuve se dĂ©roule bientĂŽt, et je n’en suis pas le Champion, c’est Axelle Higgs, l’autre prĂ©fĂšte de Serpentard. Une chouette fille. Enfin bref... Oui, enfin bref ! Ne s'Ă©garait-il pas un peu trop ? Elle sentait ses propres joues rosirent sous le nom de cette Axelle, prononcĂ© avant l'annonce de la pensĂ©e simagrĂ©e qu'il semblait lui accorder une chouette fille. Une chouette fille... Non. Elle devait rester calme et garder son sang-froid. Elle n'avait pas Ă  geindre et Ă  se lamenter pitoyablement pour... Ce joli compliment. Naturellement. Imaginer que cette fille prenne la premiĂšre Ă©preuve ne la rassurait pas d'avantage. Elle savait comme les Ă©preuves devenaient de plus en plus complexes. Elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© qu'il passe en premier et qu'il en finisse vite. Mais pourquoi Ă©tait-elle inquiĂšte ? Non, elle ne devait pas douter de lui. Aloys Ă©tait un dĂ©brouillard, pas un jeunot fĂ©brile. Il savait se servir de sa tĂȘte quand il le fallait, elle le savait douĂ© dans l'art de la magie. Seulement... Seulement ces arguments fondaient, ces arguments lui semblaient de taille Ă  un microbe. Ces arguments coulaient, et s'Ă©loignaient, se rapetissaient Ă  vue d'oeil. Car une peur incertaine la tenaillait toujours. Elle la sentait quelque part, entre cette articulation et ce coeur rebombĂ©. Aloys, Aloys... Je ne pourrais pas t'empĂȘcher d'y participer, je vois comme l'envie de prends. Et Ă  la fois en te disant de prendre garde, que gagnerais-je ? Je sais que tu feras attention. D'ailleurs laisse-moi te dire que je serais la premiĂšre Ă  te fĂ©liciter quoi qu'en advienne l'Ă©preuve. Je laisserais quelque peu ma maison respective, pour mon plus grand bien. Et je hurlerais, lĂ , Serpentard !, ou plutĂŽt Aloys Rivserside ! de toute la force que mon corps me permet de relĂącher. La jeune femme sourit, pressant sa main contre la sienne comme pour lui signifier que ces prĂ©sentes paroles Ă©taient vĂ©ritables. Elle ne voulait le rĂ©primander ou mĂȘme le persuader de reprendre son nom... Ce qui Ă©tait, le nier serait perdre la raison, impossible Ă  rĂ©aliser. Et puis elle ne voulait pas lui retirer son envie, ni sa propre fiertĂ©. Elle ne voulait d'ailleurs en aucun cas lui faire croire qu'elle ne le pensait pas fort et capable de rĂ©ussir. Elle le sentait et le savait au plus profond de son ĂȘtre. C'Ă©tait son Aloys, et il gagnerait. Elle ferait d'ailleurs tout pour. En effet avait-elle oubliĂ© quelle maison l'avait aceuillie. Car Ă  vrai dire, comme elle l'avait ressenti en retrouvant Alice Severus, elle ne ressentait plus cette diffĂ©rence folle, dans cette compĂ©tition dĂ©lirante, qu'elle avait quelque peu reprit en accĂ©dant au poste de Directrice. Retrouver ces souvenirs l'attristait quelque peu... Car en y rĂ©flĂ©chissant, si elle avait dĂ©couvert la vĂ©ritĂ©, si sa mĂšre ne lui avait pas fait croire qu'elle eut Ă©tĂ© morte Ă  sa naissance n'aurait-elle pas eu cette force de partir et de tout abandonner. D'abandonner son poste Ă  la boutique, tout comme cette place au sein de Poudlard qu'elle avait regrettablement relĂąchĂ© suite Ă  sa folie... Heureusement mĂȘme Hellyna avait-elle prit sa place. Elle n'aurait pas espĂ©rĂ© meilleure personne la remplacer. La jeune femme lui serra la taille, dĂ©posant un baiser sur sa joue fraĂźche et jeune, emplie de vitalitĂ© et de tout cas, laisse-moi te dire un grand bravo pour cette proposition ! Je suis tellement heureuse pour toi. Ca n'est pas parce que je tiens Ă  toi, mais laisse-moi dire qu'aucune autre personne n'aurait plus mĂ©ritĂ© cette affliction que toi-mĂȘme mon agneau ! Elle lui fit un petit clin d'oeil, apprĂ©ciant le taquiner et l'appeler par cette appellation affective. Je dois dire que je n'ai pas Ă©tĂ© Directrice trĂšs longtemps, malheureusement. Seulement je pense que tout comme pour les prĂ©fets, ce mĂ©tier te permet de te rapprocher et d'ĂȘtre Ă  l'Ă©couter des Ă©lĂšves. Pour toi donc de tes camarades, c'est bien d'ailleurs pour cette raison que la plupart des prĂ©fets sont bien vus des autres et deviennent vite populaires. Tu verras, comme tu deviendras l'exemple de ta maison. Alors... Pas de drague - hormis avec moi bien sĂ»r mon trĂ©sor, je parle des autres !Elle rit, l'enlaçant encore plus fort et dĂ©posant un lĂ©ger baiser sur ses lĂšvres. Elle se dĂ©tacha quelque peu de lui afin de porter le cocktails Ă  ses lĂšvres, tentant de repousser cette inquiĂ©tude qui la rongeait toujours quand Ă  se tournoi de fou. Si son Aloys lui revenait Ă©gratinĂ©, ils auraient affaire Ă  elle. Ils verraient, eux, comme elle les feraient regretter d'avoir remit ce jeu en place ! C’est vraiment beau Zeph, merci pour tout ce que tu as fait aujourd’hui, merci. Pour le reste, tout va
pour le mieux. Et toi alors, dis-moi, comment ça se passe au Bar ? Tu t’y fais ? L’ambiance te plait ? On a vĂ©cu une sale pĂ©riode aprĂšs l’attaque des Mangemorts il a fallu tout refaire
m’enfin, reconstruire pour mieux repartir, on en est un bel un exemple hein ?La jeune femme sourit, tout en reprenant un peu de nourriture. Elle entendait au loin le son produit par un oiseau chantant doucement, laissant Ă©tinceler de jolies notes agrĂ©mentĂ©es de liaisons, saupoudrĂ©es de douceur et d'harmonie. Ici elle oubliait. Ici elle se sentait bien. Surtout grĂące Ă  sa prĂ©sence. Il appliquait un baume Ă  son coeur, il lui faisait presque tout oublier... La jeune femme serra sa main, n'osant pas lui dire que son amour pour lui n'Ă©tait pas Ă  la mesure de ce piĂštre rendez-vous amoureux. Elle n'avait pas remarquĂ© son hĂ©sitation, tout comme elle omettrait franchement de lui rĂ©vĂ©ler ce qu'il s'Ă©tait dĂ©roulĂ©, de lui annoncer les rĂ©vĂ©lations qu'elle avait dĂ©couvertes dans un laps de temps enserrĂ©. Elle avait encore trop peur qu'il n'imagine qu'elle soit revenue vers lui pour l'aider Ă  se sortir de ces tĂ©nĂšbres... De ce tourbillons de faits transformant son passĂ© et la rĂ©duisant Ă  une faible mortelle. Elle voulait qu'il croit dur comme fer comme les mots qu'elle prononçait Ă©taient sincĂšres - et il l'Ă©taient au plus haut point, il n'avait pas Ă  en douter. Le bar, je m'y plais beaucoup ! C'est Ă©trange, vraiment, d'entendre les gens autours de soit ne pas comprendre comment on parvient Ă  s'Ă©panouir dans un travail de serveur, au Bar Des TĂ©nĂšbres tout au plus. Ce rythme du travail me manquait, et grĂące Ă  Emma il redevient comblĂ©. Et l'ambiance, ça paraĂźt glaucque Ă  certains, mais moi ça me met d'aplomb ! Ne te moque pas de moi, je suis sĂ©rieuse ! S'exclama-t-elle, tout en lui effleurant la mangemorts ont laissĂ© un sacrĂ© dĂ©gat, tu n'as pas tord...Sa phrase resta lĂ©gĂšrement en suspend, ses traits lĂ©gĂšrement... TaillĂ©s, tracĂ©s avec d'avantage de courbure. Elle semblait soudain emportĂ©e ailleurs, par un sentiment inexplicable. Par moment les souvenirs revenaient, par flambĂ©e, venant cisailler son Ăąme en non pas deux, mais trois, quatre, cinq... Dix, quinze parties invisibles. Une dĂ©chirure. Une contorsion. A l'intĂ©rieur un tumultueux vent violent lui prennait la gorge. D'apparence, Zepheryn semblait seulement prise soudainement dans ses pensĂ©es. Aloys pourrait croire qu'il s'agisse tout bonnement d'un rappel de ces terribles images, sans imaginer ce que la jeune femme se prenait Ă  lui cacher. Mais bien sĂ»r lui en parlerait-elle. En temps voulut. LĂ  n'Ă©tait pas le moment, ni l'endroit. Un si bel endroit n'Ă©tait pas fait pour gĂącher le plaisir et le moment magique mais bien pour vivre et respirer... Respirer cet amour vif, cet amour jeune, ce bel visage se dĂ©tendant lĂ©gĂšrement se tourna vers le sauna. Il Ă©tait lĂ , l'eau bouillonnante semblant dĂ©border de toute part du beau lieux. La jeune femme reprit une derniĂšre bouchĂ©e, finit son cocktail avant de se tourner vers son mon Aloys. On est un bel exemple. Reconstruire pour encore mieux repartir. Oh, je te jure... Je te le promets, il n'y aura plus jamais de reconstruction, plus de nouveau dĂ©part, seulement des torrents, des vagues dĂ©ferlantes d'Ă©vĂšnements, de sentiments et de vie se pencha vers Aloys, les yeux brillants d'Ă©motion aprĂšs avoir dĂ©clarĂ© ces mots avec tant de passion, une passion ardente et un amour incontestable. Elle l'enroula de ses bras et le fit se lever avant de l'embrasser avec une passion folle, laissant ses mains effleurer sa peau douce. Elle l'attirait vers lui, puis reculait, reculait, et reculait encore tout en l'attirant vers elle avec une sorte d'attirance magnĂ©tique qui s'opĂ©rait naturellement sans qu'elle n'aie besoin de le serrer contre elle. La jeune femme s'approcha de son oreille et lui murmura Que dirais-tu de nous dĂ©tendre quelque peu dans cette eau tiĂšde ? Sans qu'elle n'eut besoin de lire sa rĂ©ponse sur ses lĂšvres, elle voyait dans ses yeux qu'il avait pensĂ© Ă  la mĂȘme chose qu'elle. Alors la jeune femme, sans prĂ©venir son geste, le poussa - doucement, bien sĂ»r huhu - dans l'eau rafraĂźchissante sous ce temps d'Ă©tĂ© brĂ»lant. La jeune femme rit aux Ă©clats, mais c'est bien sans s'y attendre non plus qu'elle se fit attirer de la mĂȘme maniĂšre dans l'eau, Aloys l'ayant tirĂ©e de force vers lui. L'eau Ă©tait fraĂźche, non pas glaciale ou trop chaude par ce temps mais Ă  parfaite tempĂ©rature. Ses cheveux s'Ă©tiraient, et en cet instant Zepheryn ressemblait bien Ă  une sorte de... MĂ©duse brune quel humour sur le point de remonter Ă  la surface. La jeune femme respira l'air bon, toujours si chaud mais bien plus supportable dans cette eau agrĂ©able. Elle rit, attrapant son bien-aimĂ© dans ses bras et l'aidant Ă  se dĂ©faire de ses vĂȘtements - quelle dĂ©vergondĂ©e ! -, leur Ă©tant Ă  tout deux inutiles et plus gĂȘnants qu'autre chose, leur collant Ă  la peau. SitĂŽt fait, la jeune femme se mit Ă  ses cĂŽtĂ©s, et se laissa flotter Ă  la surface de l'eau baignĂ©e et illuminĂ©e des rayons de soleils, tout en sentant les bras d'Aloys la ramener vers lui et l'enlacer vers elle. La jeune femme le dĂ©coiffa, s'amusant avec ses cheveux mouillĂ©s tous plaquĂ©s sur son visage comme une enfant, un sourire ravi. Le lieux Ă©tait grand, mais un mĂštre carrĂ© aurait suffi, tant ces deux amoureux se collaient l'un Ă  l'autre et ne bougeaient pas, s'observant avec tendresse, jouant avec l'eau dans un premier temps et avec les cheveux de l'un et l'autre avant de se plonger dans une romance plus dĂ©licate et plus raffinĂ©e que d'ordinaire, une caresse portĂ©e sous ce soleil ardent, ardent comme leur amour, ardent comme leurs baisers, ardents comme leurs caresses et les ombres flottantes se confondre...Ce moment Ă©tait Ă  eux.[Fin de RP â™Ș] InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Mar 1 Jan - 1816 RP avec Ailinn avait eu l'idĂ©e d'emmener sa filleule pour les vacances de NoĂ«l. Ailinn avait travaillĂ© sans relĂąche et mĂ©ritait une rĂ©compense pour ce premier brillant trimestre Ă  Poudlard. La jeune femme avait prospectĂ© et hĂ©sitĂ© entre plusieurs destinations, notamment Rio, Dublin et Shanghai, mais tandis que les villes brĂ©silienne et chinoise lui avaient finalement paru assez loin et trop exotiques pour une enfant de onze ans, celle-ci connaissait dĂ©jĂ  un petit peu la capitale irlandaise. Son choix s'Ă©tait alors portĂ© sur Venise, pittoresque endroit et facile d' avait dĂ©cidĂ© de profiter de ses derniers jours de vacances avant de reprendre son poste au MinistĂšre. L'Ă©lite magique avait Ă©tĂ© grandement perturbĂ©e durant quelques mois et avait Ă©tĂ© temporairement libĂ©rĂ©e. AprĂšs avoir rĂ©servĂ© un hĂŽtel au cƓur de la ville, Ahlys avait concoctĂ© un petit programme. Elle avait plutĂŽt privilĂ©giĂ© les lieux moldus, plus riches culturellement que ceux sorciers, mais aussi parce qu'il Ă©tait parfois agrĂ©able de couper les ponts et de retrouver un mode de vie plus sain, sans artifice ni baguette. Elle avait seulement prĂ©vu un portoloin pour l'aller et le retour ; elle devait admettre que c'Ă©tait bien plus Ă©conomique et rapide, d'autant plus que la jeune femme n'Ă©tait pas trĂšs Ă  l'aise en avionet qu'elle avait dĂ©valisĂ© Waddiwasi en produits alimentaires et Ă©tranges pour les moldus risquant de ne pas passer le contrĂŽle matin de leur dĂ©part, Ahlys se leva sans peine, un petit sourire aux lĂšvres. Elle rangea d'un coup de baguette leurs valises en prenant soin de cacher les cadeaux. Sans bruit, elle s'habilla, laissa un mot Ă  Rilla pour lui souhaiter de bonnes fĂȘtes et lui dire qu'elle avait fait les courses la veille, puis monta Ă  l'Ă©tage et vint rĂ©veiller Ailinn, qui avait une chambre pour elle toute seule. Elle poussa la porte et vint s'asseoir au bout du lit aprĂšs avoir embrassĂ© la fillette sur le front - Petit Soleil, c'est l'heure !Elle l'observa un instant sa mine endormie et ouvrit dĂ©licatement volets et rideaux. Le jour ne s'Ă©tait pas encore Ă©dition par Ahlys Maplestone le Jeu 24 Jan - 2329, Ă©ditĂ© 1 fois Ailinn KafkaSerdaigle Re Un petit tour Ă  VeniseAilinn Kafka, le Jeu 3 Jan - 1701 La respiration lente et paisible d’Ailinn tĂ©moignait de son profond sommeil, et ses longs cheveux roux s’étaient Ă©parpillĂ©s en une couronne de flammes sur l’oreiller de toile claire lorsque sa jeune marraine entra doucement dans sa chambre, presque indĂ©tectable tant le bruit de ses pas Ă©tait furtif sur le parquet cirĂ©. Ailinn passait de courtes vacances dans la maison de PrĂ©-au-Lard, habitant momentanĂ©ment la petite chambre vide du premier Ă©tage touchant au large escalier. Les murs clairs Ă©taient recouverts de chaux, et un petit lit d’enfant avait Ă©tĂ© poussĂ© dans un coin de la piĂšce opposĂ© Ă  la grande lucarne bordĂ©e de rideaux de dentelle blanche, ce qui plaçait la couche en face d’une petite table de travail sur laquelle reposaient un encrier bien fermĂ©, une plume blanche et quelques rouleaux de parchemins vĂȘtement gisaient au sol prĂšs du lit, une jupe de popeline plissĂ©e et une longue cravate bleue striĂ©e de fines rayures bronze, une paire de mis-bas crĂšmes un peu tĂąchĂ©s par une quelconque excursion forestiĂšre... Petit Soleil, c'est l'heure ! »Ahlys se leva pour ouvrir sans bruit les lourds volets de bois et Ă©carter les fins rideaux de dentelle. Le ciel hivernal Ă©tait encore sombre, mais une vague rosĂ©e courait dĂ©sormais Ă  l’horizon, et la fillette contempla ce magnifique spectacle avec de petits yeux encore endormis. DĂ©jĂ  ? »La petite sorciĂšre sauta aussitĂŽt sur ses pieds, plus impatiente que jamais, embrassa sa marraine et refit son lit en toute hĂąte avant d’enfiler une Ă©paisse cape d’hiver par-dessus un jean Ă©limĂ© et un haut de lin aux couleurs passĂ©es, tout en brossant sa criniĂšre de feu. Aujourd’hui, elles partaient Ă  Venise. Sa marraine prĂ©fĂ©rĂ©e avait tout organisĂ© pour lui faire une surprise, et le Portoloin les attendait dĂ©jĂ  au rez-de-chaussĂ©e, posĂ© en Ă©vidence au milieu de la grande salle Ă  manger. Ce ne serait pas la premiĂšre fois que la fillette se servirait de l’un d’entre eux pour voyager, mais son excitation n’en retombait pas moins transplaner avait toujours un effet Ă©trange qui lui rappelait sa situation particuliĂšre de fillette attrapa sa besace de cuir dans laquelle elle avait rangĂ© quelques vĂȘtements et affaires nĂ©cessaires Ă  leur voyage, ainsi que les inĂ©vitables cadeaux. Heureusement que Meredith, l’une des filles de septiĂšme annĂ©e, lui avait appris le sortilĂšge d’extension indĂ©tectable sans quoi il Ă©tait probable qu’elle n’aurait pas pu tout faire rentrer dans ce petit sac sans en faire craquer les coutures
 Elle cala avec soin la cage de fer forgĂ© entre une paire de jeans et un pull Ă©pais, priant pour qu’il n’arrive rien au volatile avant qu’elle ne l’offre, et rejoignit Ahlys dans le salon. Je suis prĂȘte ! » InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Ven 25 Jan - 012 La voix fluette d'Ailinn, encore emmitouflĂ©e dans sa couverture, arracha un sourire Ă  DĂ©jĂ  ?La question Ă©tait rhĂ©torique. La jeune femme ne pouvait s'empĂȘcher de culpabiliser de faire lever sa filleule aussi tĂŽt. La Serdaigle venait tout juste de terminer brillamment son trimestre et avait beaucoup travaillĂ© ; Ahlys savait qu'elle s'Ă©tait imposĂ© un rythme assez soutenu. Elle devait ĂȘtre Ă©reintĂ©e. Mais l'auror balaya ces mauvaises pensĂ©es en se concentrant sur le paysage qui s'Ă©tendait devant elle. Elle observa un hibou se poser sur une branche Ă©paisse et nue. L'oiseau Ă©tira ses ailes avant de pĂ©nĂ©trer Ă  l'intĂ©rieur de l'arbre. Tandis que l'animal rentrait, Ailinn et Ahlys s'en derniĂšre se retourna et constata que sa filleule Ă©tait dĂ©jĂ  sortie de la piĂšce ; elle avait fait son lit dans la prĂ©cipitation et la jeune femme ne put rĂ©sister Ă  sa fĂącheuse manie de tirer correctement les draps afin d'y faire disparaĂźtre tous les plis. Elle remit l'oreiller en forme en le tapotant doucement. Celui-ci laissa s'Ă©chapper un agrĂ©able parfum d'hibiscus, celui des cheveux de la petite sorciĂšre. Elle descendit les marches avec douceur et se dirigea vers la cuisine, attrapa la poche en plastique qu'elle avait soigneusement prĂ©parĂ©e la veille et posĂ©e sur le plan de travail, puis regagna l'un des fauteuils du salon. Elle laissa Ă©chapper un discret rĂ©apparut soudainement, entiĂšrement apprĂȘtĂ©e, sa jolie besace en cuir enfilĂ©e en bandouliĂšre et son sourire rĂ©jouit illuminant son visage Ă  prĂ©sent parfaitement Ă©veillĂ©. Ahlys se leva et s'approcha du portoloin qui trĂŽnait au centre de la piĂšce. Il s'agissait d'un simple livre qui ne risquait pas d'attirer l'attention de qui que ce fĂ»t, aux coins abĂźmĂ©s et aux vieilles pages jaunĂątres qui contrastaient avec la couverture rigide prĂ©sentant le visage d'une femme dont le regard se perdait dans le lointain, bien au-delĂ  du papier. La jeune femme prit les valises dans sa main droite et tendit la gauche Ă  Ailinn pour l'inviter Ă  se joindre Ă  Quand tu auras ton permis de transplanage, ce sera bien plus pratique !Elle laissa Ă©chapper un rire cristallin et qui l'emplit d'une immense joie. Elle posa la paume de sa filleule sur le vieux livre avant de faire de mĂȘme. Elles attendirent quelques instants avant de disparaĂźtre de la piĂšce, ne laissant derriĂšre elles qu'une fraĂźche odeur d'hibiscus et de jasmin.***Ahlys dĂ©testait utiliser des portoloins ; elle Ă©tait systĂ©matiquement malade. C'Ă©tait pour cette raison qu'elle n'avait jamais passĂ© son permis de transplanage, mais elle Ă©vitait de penser Ă  cela. Le temps des regrets Ă©tait rĂ©volu. NĂ©anmoins, la premiĂšre chose qu'elle fit lorsqu'elles apparurent sous un pont de pierre fut de dire Ă  Ailinn de regarder le calme et sombre canal avant de s'Ă©loigner de quelques pas et de vomir aussi discrĂštement qu'elle le pouvait. Une fois le ventre vide, elle dut reconnaĂźtre qu'elle se sentait nettement mieux, bien qu'elle n'eĂ»t absolument pas faim. Elle rejoignit la fillette et dĂ©clara d'un ton jovial - Sia la benvenuta a Venezia, il mio Sole !Elle ignorait totalement si sa phrase Ă©tait correcte, mais elle savait que sa filleule saisirait l'idĂ©e. Elle l'enlaça et embrassa le haut de son crĂąne avant de lui dire qu'elle Ă©tait heureuse de pouvoir partager quelques jours avec elle se l'Ă©tait promis, elle refusa d'utiliser la magie pour porter leurs bagages ou les rendre moins lourds. Elle confia la valise la plus lĂ©gĂšre Ă  Ailinn, s'empara de l'autre, et se mit en marche. Si elle avait calculĂ© correctement, l'hĂŽtel Ă©tait Ă  une centaine de ville Ă©tait faiblement Ă©clairĂ©e mais l'eau renvoyait de nombreux reflets de toutes les couleurs qui miroitaient sur les murs de pierre qui semblaient Elles Ă©taient Ă  Venise. Ailinn KafkaSerdaigle Re Un petit tour Ă  VeniseAilinn Kafka, le Dim 17 FĂ©v - 1619 La frĂȘle fillette aux boucles rousse s’approcha lentement du Portoloin trĂŽnant sur la massive table de la salle Ă  manger. Celui-ci Ă©tait beaucoup plus simple que certains qu’utilisaient NaomĂ© autrefois, lorsqu’elles Ă©taient en fuite. Un livre Ă©cornĂ©, aux pages jaunies et Ă  la couverture passĂ©e, sur laquelle une femme au regard vague se perdant dans les volutes de brume du lointain avait Ă©tĂ© peinte, et dont mĂȘme la beautĂ© particuliĂšre ne risquait pas d’attirer l’attention du Moldu moyen. Les MisĂ©rables ». Ailinn se promit de le lire un jour, quand le temps des examens ne serait plus qu’un souvenir douillet que l’on Ă©voque au coin du feu
 La petite fille serra ses petits doigts blancs dans la main tendue de sa marraine, et inspira lentement pour apaiser son malaise. Transplaner Ă©tait toujours une Ă©preuve peu agrĂ©able, et elle avait hĂąte d’ĂȘtre dĂ©barrassĂ©e de cette corvĂ©e
 Quand tu auras ton permis de transplanage, ce sera bien plus pratique ! »La petite sorciĂšre sourit Ă  cette perspective, emplie d’une joie Ă©trange Ă  l’idĂ©e d’ĂȘtre un jour une sorciĂšre accomplie. Elles posĂšrent toutes deux leurs paumes sur le livre Ă©cornĂ©, couvrant le visage paisible de la mĂ©lancolique jeune femme de leurs mains fraiches, et disparurent brusquement en un tourbillon de vent sifflait aux oreilles d’Ailinn, de plus en plus strident tandis que leurs corps parcouraient des milliers de kilomĂštres en quelques secondes, et l’estomac de l’enfant se tordit en un complexe nƓud marin tandis qu’elles survolaient les landes rĂ©apparurent sous un pont de vieilles pierres duquel tombait une magnifique cascade de lierre entortillĂ©e autour de quelques gargouilles moyenĂągeuses. FascinĂ©e, la fillette se perdit dans la contemplation des eaux sombres du canal, souriant Ă  un homme d’ñge mĂ»r enveloppĂ© d’une Ă©paisse cape pourpre, naviguant sur une antique gondole vernie, qui lui rendit ce sourire avec un clin d’Ɠil ravi. Un sorcier ? Sia la benvenuta a Venezia, il mio Sole ! »Lorsqu’Ailinn se retourna, il avait disparu, mais cela ne l’attrista nullement. Elle Ă©tait Ă  Venise, avec sa marraine qu’elle adorait plus que tout, et elle allait dĂ©couvrir ce pays magnifique en oubliant Poudlard et les examens pendant quelques deux sorciĂšres ne tardĂšrent pas Ă  se mettre en route sous les lueurs vacillantes de l’aube, parcourant les Ă©troites ruelles pavĂ©es avec des yeux Ă©merveillĂ©s en direction de l’hĂŽtel qu’avait choisi Ahlys. Tout Ă©tait si beau, si 
 magique. C’est tellement beau
 » murmura l’enfant, remerciant sa marraine de ce merveilleux voyage. Ailinn ne saurait dire combien de temps dura leur marche dans les rues dĂ©sertes, mais Ă  ses yeux il n’équivalait pas mĂȘme Ă  un tour de trotteuse sur l’écran d’une montre. Elles arrivĂšrent soudain devant une Ă©lĂ©gante demeure s’élevant sur trois niveaux, dont les hautes fenĂȘtres romanes donnaient visiblement sur le cĂ©lĂšbre canal. Certaines d’entre-elles Ă©taient pourvues d’un Ă©troit balconnet de pierre Ă  la rambarde sculptĂ©e d’arabesques, Ă  partir duquel l’on pouvait clore les minces persiennes Ă©caillĂ©es si l’on souhaitait dormir aprĂšs l’aube. Voyant sa marraine s’arrĂȘter avec un air satisfait, la fillette tourna vers elle un regard interrogateur doublĂ© d’un sourire enchantĂ©. C’est ici ? » InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Mar 5 Mar - 1257 La jeune fille marchait en silence aux cĂŽtĂ©s d'Ahlys tandis que le canal clapotait doucement contre les bords de pierre. Elle regarda le ciel encore sombre mais dĂ©pourvu d'Ă©toiles ; bien que l'atmosphĂšre fĂ»t fraĂźche, le temps s'annonçait clĂ©ment. Au loin, une premiĂšre lumiĂšre vint s'Ă©clairer. Il devait ĂȘtre cinq heures et demie, la ville commençait doucement Ă  s'Ă©veiller de son paisible C'est tellement beau... s'exclama discrĂštement l' Je suis contente que cela te plaise, rĂ©pondit Ahlys en ne rĂ©sistant pas Ă  l'envie de passer sa main libre autour de l'Ă©paule de sa qu'elle prĂźt froid, la jeune femme pressa imperceptiblement le pas, puis leva les yeux vers un fort joli bĂątiment. Ailinn Ă©changea un regard avec Ahlys, dont le sourire s'Ă©largit. La petite sorciĂšre avait devinĂ© elles se trouvaient devant l'hĂŽtel dans lequel elles dormiraient ces prochains par rĂ©flexe, jeta un coup d'Ɠil Ă  droite et Ă  gauche de l'allĂ©e avant de pĂ©nĂ©trer sur la petite terrasse qui menait vers la porte principale. Elle s'avança Ă  la rĂ©ception non sans observer les alentours ; la piĂšce Ă©tait recouverte d'un parquet brun sombre qui renvoyait la lumiĂšre Ă©mise par de discrets plafonniers. Un canapĂ© et deux fauteuils en velours rouge se faisaient face, sĂ©parĂ©s par une table basse en verre opaque. Ahlys appuya timidement sur la sonnette posĂ©e sur le comptoir. Aucun son ne retentit. Elle rĂ©essaya plus franchement, puis un nouveau sourire naquit sur ses lĂšvres quand la cloche tinta. Il y eut une dizaine de secondes de silence avant qu'une grande femme d'une quarantaine d'annĂ©es ne vienne se prĂ©senter Ă  elles. Elle glissa une mĂšche de cheveux gris derriĂšre son oreille et murmura d'une voix douce - Riservato ? Constatant le regard gĂȘnĂ© de son interlocutrice, la rĂ©ceptionniste s'exprima en anglais, non sans un certain accent prononcĂ© mais mĂ©lodieux. Avez-vous rĂ©servĂ© ?- Oui, au nom de Maplestone. Une chambre Veuillez patienter je vous prie, rĂ©pondit la femme en glissant de petites lunettes sur son nez pointu. Oui, c'est bien cela. Chambre 316. Elle prit une clĂ© derriĂšre elle et dĂ©signa un petit couloir sur leur droite. Allez-y, l'ascenseur est lĂ . Je vais vous mener Ă  votre rĂ©cupĂ©ra les deux valises et laissa la propriĂ©taire passer devant elles. La femme s'arrĂȘta quelques secondes prĂšs d'Ailinn Ă  laquelle elle adressa un sourire bienveillant, ouvrit la porte de l'ascenseur et laissa les nouvelles venues s'y glisser. La cage Ă©tait Ă©troite, mais les trois femmes Ă©tant menues, elles n'auraient pas Ă  trop se raidir. Quand elles furent au troisiĂšme Ă©tage, la rĂ©ceptionniste sortit la premiĂšre et se dirigea tout au fond du couloir. Ahlys la suivit en silence en apprĂ©ciant la moquette chambre Ă©tait petite mais semblait confortable. Il y avait de la place pour un lit-double ainsi qu'une petite table et une chaise. Elles glisseraient leurs affaires sous le lit. A cĂŽtĂ© de cette piĂšce, elles trouvĂšrent une salle d'eau d'une propretĂ© impeccable. Quatre serviettes blanches et moelleuses avaient Ă©tĂ© disposĂ©es sous le lavabo. Ahlys remercia chaleureusement la propriĂ©taire, qui se retira aprĂšs avoir souhaitĂ© un bon sĂ©jour aux Irlandaises. Elle rajouta qu'elle se tenait Ă  leur entiĂšre disposition Ă  toute heure avant de disparaĂźtre dans le couloir et de tirer la porte derriĂšre jeune femme dĂ©posa un baiser sur la joue d'Ailinn et se dirigea vers l'unique fenĂȘtre de la chambre. Elle Ă©carta les rideaux, mais le jour ne s''Ă©tait pas encore Je propose que nous dormions encore deux ou trois heures pour ne pas ĂȘtre trop fatiguĂ©es. Ailinn KafkaSerdaigle Re Un petit tour Ă  VeniseAilinn Kafka, le Sam 6 Avr - 1524 La fillette observa la petite piĂšce dans laquelle elles se trouvaient tandis que sa marraine s’occupait d’affaires au comptoir. La rĂ©ception de leur hĂŽtel lui inspirait abondance et richesse, baignĂ©e dans la lumiĂšre dorĂ©e de quelques plafonniers diffus. Le sol comme les murs Ă©taient sombres, et de profonds fauteuils veloutĂ©s se faisaient face sur le prĂ©cieux parquet d’acajou. Sur une petite table basse de verre fumĂ©, quelques magasines hĂ©tĂ©roclites avaient Ă©tĂ© disposĂ©s Ă  l’intention des visiteurs, pour la plupart un peu Ă©cornĂ©s aprĂšs de nombreuses lectures. Ailinn en attrapa discrĂštement un entre ses doigts blancs, espĂ©rant secrĂštement ne pas se faire rĂ©primander, un peu mal-Ă -l’aise dans cette grande demeure inconnue. Feuilletant le journal d’un air dĂ©sinvolte sans vraiment y prĂȘter garde, elle ne tarda pas Ă  tomber sur des recettes de cuisine, et s’arrĂȘta, perplexe, sans comprendre pourquoi personne n’y faisait allusion Ă  la magie. Mais oui ! Elle avait complĂštement oubliĂ© que la plupart des autres clients de l’hĂŽtel seraient probablement des Moldus
 L'ascenseur est lĂ . Je vais vous mener Ă  votre room. »Ailinn s’empressa de suivre sa marraine dans l’étroit ascenseur, rĂ©pondant au sourire amical de la rĂ©ceptionniste. TroisiĂšme Ă©tage, derniĂšre Ă  droite. Une petite chambre lumineuse et impeccablement propre. Je propose que nous dormions encore deux ou trois heures pour ne pas ĂȘtre trop fatiguĂ©es. »Ailinn n’eut pas besoin de se le faire dire deux fois, et se glissa avec bonheur dans les draps frais. MĂȘme Ă  Poudlard, la fillette n’avait pas l’habitude de se lever si tĂŽt, et ne voulait pas laisser la fatigue entacher ses premiers instants dans cette ville les yeux, elle ne tarda pas Ă  s’endormir, ses rĂȘves peuplĂ©s de masques colorĂ©s et d’arabesques d’or.* * *La fillette entrouvrit ses paupiĂšres rosĂ©es, un peu perdue. Elle ne se rappelait pas de cette chambre dont les meubles n’étaient pas Ă  la mĂȘme place que dans la sienne, et c’est avec un sursaut de soulagement qu’elle aperçut sa marraine, endormie prĂšs d’ L’hĂŽtel, la chambre au troisiĂšme Ă©tage. Tout allait redressant doucement pour apercevoir le cadran lumineux du rĂ©veil, de l’autre cĂŽtĂ© du lit, la petite sorciĂšre ne tarda pas Ă  y apercevoir ce qu’elle cherchait. Neuf heures sachant pas vraiment si elle devait rĂ©veiller sa marraine ou la laisser profiter de ses derniĂšres heures de sommeil, la fillette se leva sur la pointe des pieds avant de se glisser sans faire de bruit dans la petite salle de bain entrouvrit la petite fenĂȘtre et respira l’air frais de l’hiver italien, et les effluves salĂ©s du canal, en contrebas, avant de se dĂ©cider. Elle avait bien trop envie de faire un tour dehors, il fallait qu’elle rĂ©veille Ahlys ! L’irlandaise se prĂ©para en toute hĂąte, tressa en couronne sa longue chevelure de feu et enfila des habits moldus avant de faire irruption dans la chambre. Lys ! Viens, on va voir ce qu’il y a dehors ! Il fait jour ! » InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Sam 27 Avr - 1725 HRPG I'm baaack! Ce n'est pas un post trĂšs Ă©toffĂ©, je n'ai pas Ă©crit depuis un petit moment ^.^Ahlys venait Ă  peine de proposer Ă  Ailinn de dormir un peu que celle-ci se glissait dĂ©jĂ  dans le lit confortable et moelleux. L'auror elle-mĂȘme se surprit Ă  bĂąiller, mais avant de rejoindre les bras de MorphĂ©e, attendit quelques minutes avant d'ĂȘtre certaine que la fillette dormait Ă  poings fermĂ©s. Elle la regarda un instant, puis fondit furtivement sous le lit, tendit le bras pour attraper son bagage, la tira vers elle et l'ouvrit. Elle saisit un premier paquet de taille respectable ; celui-ci contenait le jeu d'Ă©checs. Dans un second emballage, elle avait glissĂ© la plume Ă  vĂ©rification orthographique, cinq piĂšces en chocolat, un jeu du pendu rĂ©utilisable Ă  l'infini ainsi que cinq insignes d'auror comestibles. Un lĂ©ger parfum de myrtille se rĂ©pandit dans la piĂšce. Craignant de rĂ©veiller Ailinn, la sorciĂšre se redressa, les cheveux lĂ©gĂšrement en dĂ©sordre. Sa filleule n'avait pas bougĂ©. Souriant, Ahlys s'empara du dernier cadeau en veillant Ă  ne pas le secouer trop brusquement ; elle approcha son oreille et perçut quelques mouvements, mais le dragon miniature n'Ă©tait pas trop un sourire ravi, elle glissa les prĂ©sents dans un des tiroirs, puis rangea d'autres affaires avant de se faufiler Ă  son tour dans le lit que le corps d'Ailinn avait tiĂ©di. L'auror avait Ă  peine fermĂ© les yeux qu'elle s' visage d'un homme noir. Ahlys ne le connaĂźt que trop bien, pour l'avoir observĂ© de nombreuses fois. Il la regarde et lui sourit en lui tendant le bras pour lui proposer de marcher un peu. Elle hĂ©site mais sait qu'elle va accepter. Ahlys et Joe se mettent en marche. Ils font quelques pas en silence, observant l'Ă©trange paysage Ă  la lumiĂšre lĂ©gĂšrement rosĂ©e. Ils s'arrĂȘtent et se font face. Il glisse sa main chaude sur sa nuque, pose ses lĂšvres sur son front opalin. Il murmure Lys... »OoO- Lys ! Viens, on va voir ce qu'il y a dehors ! Il fait jour !Ahlys ouvrit les yeux et les referma aussitĂŽt ; la piĂšce Ă©tait baignĂ©e d'une lumiĂšre claire. Elle ramena la couverture vers elle et roula sur le lit en feignant l' Pour la peine, attrape-moi mes affaires dans le tiroir ! fit-elle en dissimulant son sourire derriĂšre un rideau de cheveux roux. Ailinn KafkaSerdaigle Re Un petit tour Ă  VeniseAilinn Kafka, le Ven 3 Mai - 2002 Jamais un matin de NoĂ«l ne lui avait paru si beau. Venise resplendissait sous le soleil d’azur, elle Ă©tait avec sa marraine adorĂ©e et allait passer quelques jours dans cette ville merveilleuse
Ailinn ne put rĂ©primer un sourire amusĂ© en voyant sa marraine se cacher sous les couvertures comme une enfant, et Ă  sa demande, s’apprĂȘta Ă  attraper ses affaires dans le tiroir de la commode. La fillette Ă©tait Ă©tonnĂ©e qu’Ahlys ait eu le temps de ranger leurs affaires avant qu’elles ne dorment, car elle ne se souvenait pas s’ĂȘtre endormie si vite, mais aprĂšs tout elle s’était sentie si fatiguĂ©e que c’était bien alors qu’elle ouvrait le large tiroir d’ébĂšne, Ailinn y aperçut de nombreux paquets brillants Ă  cĂŽtĂ© de leurs vĂȘtements. Des cadeaux ! La fillette avait soudain une envie irrĂ©sistible de les ouvrir, mais se retint, et ne les sortit pas du tiroir. Elle voulait les dĂ©couvrir pendant que sa marraine ouvrait ses propres dĂ©posa sur le grand lit les affaires de sa marraine, prĂšs de la cage du hibou petit duc qu’elle avait recouvert d’un carrĂ© de velours rouge pour qu’il ne souffre pas trop du voyage, et des trois paquets qu’elle destinait Ă  sa marraine avant de sauter au cou d’Ahlys en s’écriant Joyeux NoĂ«l, ’Lys ! Je peux prendre mes cadeaux ? On les ouvre ensemble ? »Elle espĂ©rait que les deux ouvrages sur le Quidditch et la sorcellerie mĂ©diĂ©vale plairaient Ă  l’ancienne Serdaigle, et surtout qu’elle n’avait pas fait d’erreur en lui achetant le hibou mordorĂ© qu’elle n’avait pas encore nommĂ©. Pour la plume de phĂ©nix, elle n'avait pas d'inquiĂ©tudes. Ce genre de cadeau Ă©tait passe-partout, toujours utile et n’avait pas encore vĂ©cu beaucoup de NoĂ«ls heureux. Il y en avait eu un, avec NaomĂ©, qui resterait Ă  jamais gravĂ© dans sa mĂ©moire, mais elle ne voulait pas y songer pour le moment tant celui-ci Ă©tait douloureux. Elles avaient dĂ©gustĂ© du pudding tiĂšde dans un cottage poussiĂ©reux, et sa mĂšre lui avait offert quelques pĂ©tards surprise, un sachet de dragĂ©es de Bertie Crochue et un livre sur la mĂ©tamorphose
 NaomĂ© lui manquait tant. InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Jeu 4 Juil - 1902 RP avec Evan, Azphel, Cassius Clay et Jagang de Maldor Intrigues vĂ©nitiennesLa nuit commençait Ă  tomber sur la citĂ© vĂ©nitienne. L'activitĂ© touristique ne cessait pas pour autant, cette ville semblait toujours pleine de monde. Pourtant, Mike connaissait un endroit parfait pour un petit rendez-vous nocturne en toute sĂ©curitĂ©. D'un "plop" sonore, il apparut au milieu d'une petite allĂ©e dĂ©serte. Celle-ci menait Ă  une petite place enclavĂ©e entourĂ©e de maisonnettes et dont le portail laissait Ă  penser que cet espace appartenait Ă  l'un des propriĂ©taires. Il n'en Ă©tait rien et le Serdaigle le savait. Il attendait devant la grille noire les personnes Ă  qui il avait demandĂ© de venir. Il n'Ă©tait pas revenu par hasard en Italie et surtout pas Ă  Venise en plein carnaval. La foule Ă©tait ce qui protĂ©gerait le mieux une rencontre secrĂšte. Et l'Ă©tranger ne pouvait ĂȘtre que le meilleur asile afin de ne pas Ă©veiller les trentenaire n'Ă©tait pas satisfait de la politique actuelle du ministĂšre. Il avait vĂ©cu dans le passe en marge de cette sociĂ©tĂ©, cherchant Ă  Ă©branler le pouvoir en place en rejoignant une sombre confrĂ©rie. Lorsqu'il pensait Ă  cette Ă©poque, il se disait intĂ©rieurement que c'Ă©tait le bon temps. À l'Ă©poque, outre les attaques sur les sorciers qui Ă©taient contre eux, ils pensaient Ă  un moyen lĂ©gal de prendre le pouvoir et ils avaient fini par l'obtenir. Sauf que Mike avait quittĂ© l'Angleterre avant cet avĂšnement. Il n'avait rien connu de cette Ă©poque. Il Ă©tait revenu bien plus tard, lorsque ses congĂ©nĂšres Ă©taient traquĂ©s ou du moins, ce qu'il en restait. MĂȘme l'ex-chef de cette ligue avait fini par quitter l'Angleterre, laissant la place Ă  un inconnu pour le Serdaigle. Celui-ci avait peut-ĂȘtre tuĂ© de sa main ou moins commanditĂ© la mort d'Alicia. Il n'avait plus aucun contact parmi eux, il avait su que beaucoup s'Ă©taient enfuis mais les auteurs de ce crime odieux semblaient s'en ĂȘtre sortis. Les Aurors montraient une fois encore leur incapacitĂ© Ă  rĂ©pandre la vent tournait mais aucune tempĂȘte n'approchait. Le monde anglais des sorciers Ă©tait dans un faux calme effrayant pour le gĂ©rant des Trois Balais. Il fallait crĂ©er un nouvel ordre, changer les choses ! La crise frappait ce monde et aucune solution semblait y mettre fin. Les temps Ă©taient durs mais il n'y avait aucune vague de rĂ©volte. Les Mangemorts semblaient muĂ©s dans l'attente mais l'attente de quoi ? Certes, il leur en voulait toujours pour la mort de la soeur de Solange mais sans leur activitĂ©, la vie semblait terne et soumise. Sans leur activitĂ©, il ne pourrait pas remonter jusqu'Ă  l'assassin et obtenir charmante femme s'approcha de lui. Il mit machinalement la main sur la baguette qui se trouvait dans sa poche. Il n'attendait pas de femme pour ce soir. Il avait contactĂ© deux hommes dont il connaissait leurs idĂ©aux Evan et Azphel. il leur avait envoyĂ© un message cryptĂ© leur joignant de venir se retrouver en Italie. Il avait eu vent de leur retour depuis quelque temps et il se demandait si comme lui, ils ne s'ennuyaient pas dans leur retraite jeune femme marchait d'un pas lent dans sa direction en fumant. Elle se planta devant lui avec sa cigarette Ă  la main, prenant l'air Dites-moi, beau brun, on vous a dĂ©jĂ  dit que vous ressembliez Ă  Nathan Fillion ?Le Serdaigle fit signe que non. Il Ă©tait flattĂ© qu'une personne puisse le confondre avec un acteur sexy. La belle demoiselle s'Ă©loigna tandis que son tĂ©lĂ©phone portable sonnait. Elle dĂ©crocha et parla d'une voix suffisamment forte pour que le sorcier puisse l' Castle, oĂč est-ce que vous Ă©tiez? Vous avez ratĂ© une affaire se demanda s'il avait bien entendu le nom au tĂ©lĂ©phone. La jeune femme se tourna de nouveau vers lui et il trouvait qu'elle avait un air de Beckett. Il secoua sa tĂȘte et ne comprenait plus trop ce qui se passait pour le Ă©dition par Mike Starkiller le Lun 8 Juil - 1925, Ă©ditĂ© 1 fois Devon StarckPoufsouffle Re Un petit tour Ă  VeniseDevon Starck, le Ven 5 Juil - 1427 € € € Une explosion retentit fortement au-dessus de lui, ce qui contraignit 05 Ă  relever la tĂȘte. Elle provenait d'un couloir du deuxiĂšme Ă©tage du chĂąteau dont de lourdes pierres s'Ă©croulaient dans le parc, arrachĂ©es de leur carcan millĂ©naire par un bombarda d'une extrĂȘme violence. Deux corps noircis et ensanglantĂ©s s'Ă©chouaient dans l'herbe en mĂȘme temps que les gravats, tandis que des flammes affolĂ©es ravageaient tout l'Ă©tage de Poudlard. D'autres explosions suivirent et, en se redressant, 05 vit la tour d'astronomie imploser et se rĂ©pandre en dĂ©bris tout autour de sa base. DerriĂšre lui, la forĂȘt interdite Ă©tait soulevĂ©e par un immense brasier. Des animaux apeurĂ©s s'en enfuyaient, d'autres sortaient des arbres en hurlant, rongĂ©s par des flammes qui les consumaient. Poudlard sombrait peu-Ă -peu et, Ă  l'image de sa dĂ©faite, sa rĂ©signation, les membres de l'ordre du phĂ©nix et les Aurors tombaient un-Ă -un sous les baguettes des mangemorts. 05 s'agenouilla, Ă©crasant de son poids la jugulaire de la jeune Auror allongĂ©e sous lui. Elle crachat un jet de sang, impuissante ; des larmes mouillaient ses joues flĂ©tries par la peur. Elle Ă©tait gravement blessĂ©e, elle attendait la mort. Alors, 05 plongea son regard dans celui de la jeune femme et d'une voix monocorde, vide de toute Ă©motions, lui dit - Quand Poudlard sera en cendres, ..., je t'autoriserai Ă  mourir.€ € € L'image de l'Auror mourante disparut, laissant place au visage de la jeune Kyara Blanchet. Le corps nu de la jeune sorciĂšre en sueur Ă©tait plaquĂ© contre celui d'Azphel, son souffle, ralenti par l'intensitĂ© de leur Ă©bat, ses pupilles dilatĂ©es plongĂ©es passionnĂ©ment dans les yeux du sorcier. Les draps suivaient le mouvement de leurs corps enchevĂȘtrĂ©s et tĂ©moignaient d'une nuit passionnĂ©e entre les deux sorciers qui n'avait pas J'aimerais que cette nuit ne s'achĂšve jamais, lui tap, tap, bruit rĂ©veilla subitement Azphel et il se redressa dans son lit avant de se laisser tomber en arriĂšre sur son oreiller dĂ©formĂ© par une nuit trĂšs agitĂ©e. Il enfouit sa tĂȘte dans ses deux Pu**in, c'Ă©tait qu'un rĂȘve...Il porta sa main droite Ă  son bras gauche qui le lançait sa marque des tĂ©nĂšbres mutilĂ©e le brĂ»lait, chose qui n'Ă©tait pas arrivĂ©e depuis trĂšs longtemps. Le tapotement sonore recommença et le sorcier se redressa, sans plus faire attention Ă  la douleur de son avant bras, s'efforçant Ă  faire le tri dans ses pensĂ©es. Il traversa le long couloir qui menait Ă  sa terrasse et lĂ , devant sa fenĂȘtre, il vit Kivol, son hibou grand-duc, qui tapotait sur le carreau intĂ©rieur. A l'extĂ©rieur, un autre hibou attendait, qu'Azphel ne connaissait pas, mais il avait un morceau de parchemin accrochĂ© Ă  sa patte. Quand il ouvrit la porte fenĂȘtre le hibou s'empressa d'entrer et dĂ»t faire un effort pour rester immobile le temps qu'Azphel dĂ©croche le message, car Kivol ne cessait de sautiller autour de lui et de lui mordiller les plumes.€ € € Il laissa les deux hiboux qui se chamaillĂšrent dans le couloir et dĂ©roula le rouleau de parchemin, qu'il lut en allant chercher une gamelle d'eau et un peu de miamhibou pour donner au voyageur. Le message Ă©tait cryptĂ© selon un ancien code mangemort, court, et ĂŽ combien inattendu. Il provenait d'une personne qu'Azphel avait connu il y a bien longtemps, quelqu'un qu'il croyait disparu, Mike Starkiller. Il l'invitait Ă  venir le rejoindre Ă  Venise, pour une rĂ©union d'anciens. Il n'y avait rien d'explicite dans la lettre, ni d'autres noms que le sien, mais Azphel savait que Mike ne se risquerait pas Ă  Ă©voquer les raisons si cela concernait la magie noire, et apparemment, les Mangemorts. Il arpenta sa maison pensivement, se demandant de quoi il pouvait bien en retourner exactement. IntĂ©rieurement, il avait dĂ©jĂ  fait son choix Mike Ă©tait un frĂšre d'armes autrefois et il ne pouvait pas ne pas lui rĂ©pondre rĂ©cupĂ©ra les gamelles de nourriture et laissa le hibou voyageur repartir, rĂ©coltant un hululement rĂ©probateur de la part de Kivol. Une heure plus tard, Azphel Ă©tait fin prĂȘt et sortit de chez lui avec sa moto volante, un ancien side qu'il avait largement modifiĂ© et qui ressemblait maintenant Ă  une grosse cylindrĂ©e japonaise moldue. Volant au-dessus des nuages, plein gazes, il mit un peu moins de trois heures pour rejoindre la citĂ© VĂ©nitienne. C'Ă©tait la premiĂšre fois qu'Azphel venait Ă  Venise, pourtant il avait l'impression qu'elle lui Ă©tait familiĂšre, peut-ĂȘtre parce qu'il avait eu de multiples occasions de la voir Ă  la tĂ©lĂ© ou dans des magazines.€ € € Le mage noir gara sa moto dans une petite ruelle et la camoufla Ă  l'aide d'un sortilĂšge. Il descendit ensuite dans les rues de la ville, passa devant une pizzeria et enjamba une demi douzaine de ponts ce qui lui laissa le temps d'admirer les gondoles qui parsemaient le PĂŽ. Il s'alluma une cigarette et la fuma en regardant l'architecture byzantine des bĂątiments en se demandant oĂč il trouverait Mike. Finalement il repĂ©ra le sorcier et arriva dans son dos. Il avait l'air de draguer une jeune femme extrĂȘmement charmante qui ressemblait Ă  une actrice de sĂ©rie brunette dĂ©crocha son tĂ©lĂ©phone portable et s'Ă©loigna au moment oĂč Azphel arrivait Ă  hauteur de Mike. Sans le regarder, il lui dit - Je ne sais pas ce qu'elle en pense, mais je te trouve beau se fendit d'un large sourire et se retourna vers l'homme qui l'avait invitĂ© Ă  Venise, lui empoignant la main fermement, comme celle d'un vieil ami qu'on a pas revu depuis Comment vas tu Mike ? Tu as bien choisi la ville on dirait, dit-il en regardant la brunette au tĂ©lĂ©phone qui s'Ă©loignait. Il y a l'air d'y avoir de ravissantes distractions. Un peu difficile Ă  dĂ©chiffrer ton message, mais j'ai Ă©tĂ© ravi de le recevoir. A vrai dire, je ne pensais pas te revoir, toi ou quelqu'un d'autre de notre Ă©poque. je me suis tellement Ă©loignĂ© du monde sorcier que je croyais que tout le monde m'avait oubliĂ©, visiblement ce n'est pas le Le monde a bien changĂ©, ajouta-t-il aprĂšs un long silence, un regard mĂ©lancolique pointĂ© sur les passants. On a pas mal de choses Ă  se raconter je pense. Alors qu'il Ă©tait plongĂ© dans le dĂ©colletĂ© d'une grande blonde, un visage masculin vint se plantĂ© devant lui. Il eut du mal Ă  en croire ses yeux tant il avait cru que cette personne Ă©tait morte oĂč bien loin du monde magique, comme il l'avait Ă©tĂ© jadis. C'Ă©tait Evan, qui semblait en bien meilleure forme que lorsqu'ils s'Ă©taient vus pour la derniĂšre Ouah, s'exclama Azphel en lui faisant une accolade. On dirait que la retraite te fait le plus grand bien. EvanSerpentard Re Un petit tour Ă  VeniseEvan, le Sam 6 Juil - 904 ~ La plupart de nos journĂ©es rĂ©sultent d'un train train quotidien d'oĂč rien d'extraordinaire ne ressort. Des journĂ©es que l'on pourrait qualifier de "banales", qui ne trouveront jamais de place pertinente dans le meuble de nos souvenirs. En contrepartie, certaines journĂ©es trouvent une saveur complĂštement inattendue, une odeur Ă  la fois de passĂ© et d'avenir et celles-lĂ , resteront gravĂ©es de par leur Ă©trangetĂ© et de ce qu'elles nous auront apportĂ©.~ Evan s'Ă©tait Ă©veillĂ© ce matin-lĂ  avec une gueule de mal lunĂ©, car une nuit d'insomnie Ă©tait venue frapper Ă  sa porte et les heures de sommeil qu'il avait eu se comptaient au nombre de trois. Bref, il avait donc une mine affreuse qui laissait prĂ©sager une humeur massacrante pour le reste de la journĂ©e. Du moins le croyait-il. Cependant, lorsqu'il arriva dans son hall d'entrĂ©e, il fut surpris de voir une lettre qui attendait sur le tapis prĂšs de la porte. Jamais il n'avait reçu le moindre courrier jusqu'Ă  prĂ©sent, et pour cause, il avait tout fait pour que sa demeure ne soit connue de personne, y compris des Mangemorts. La seule personne qu'il avait autorisĂ© Ă  entrer chez lui Ă©tait Kimoka, et la belle n'avait pu entrer que grĂące Ă  sa cheminĂ©e qui Ă©tait protĂ©gĂ©e par un mot de passe, les grilles de son manoir ne pouvant s'ouvrir qu'Ă  une personne parlant le Fourchelang, il s'Ă©tait toujours considĂ©rĂ© comme quelqu'un d'introuvable.~ NĂ©anmoins, les faits Ă©taient lĂ , une lettre l'attendait. Qui pouvait bien l'avoir retrouvĂ© ? Il s'avança jusqu'Ă  l'enveloppe avec une pointe d'apprĂ©hension. La lettre Ă©tait cachetĂ© d'une cire rouge et il alla s'installer dans son salon pour l'ouvrir. Il dĂ©cacheta soigneusement l'enveloppe avant de se saisir du parchemin qu'elle contenait. A sa grande surprise, il y trouva une lettre Ă©crite dans un code Mangemort. Il n'avait plus vu cela depuis bien longtemps et il lui fallut quelques minutes pour venir Ă  bout du code dont il avait perdu une partie du dĂ©codage. Mike Starkiller, le treiziĂšme maillon des TĂ©nĂšbres, c'Ă©tait lui qui Ă©tait Ă  l'origine de la lettre.~ Il la lue deux fois de tout son long, le mage souhaitait rĂ©unir d'anciens Mangemorts comme lui dans un lieu suffisamment Ă©loignĂ© et protĂ©gĂ© pour ĂȘtre l'abri d'une Ă©ventuelle traque. Le rendez-vous Ă©tait fixĂ© Ă  Venise, une ville qu'il avait la chance de connaĂźtre puisqu'il avait passĂ© quelques annĂ©es entre la France et l'Italie, et, Ă  la fin de la lettre Mike lui prĂ©cisa qu'il Ă©tait libre d'invitĂ© d'anciens Mangemorts s'il Ă©tait toujours en contact avec certains. Son ami Azphel passa immĂ©diatement dans son esprit, mais il avait perdu le contact avec l'homme et ne savait pas du tout oĂč le retrouver. 04 ? 34 ? 16 ? 83 ? Quatre DĂ©esses Mangemorts avec qui il n'avait plus de contacts autre que dans ses rĂȘves charnels hors du temps oĂč il se voyait encore prĂšs d'elles dans les cuisines d'Hollow Bastion... 14 ? 50 ? 17 ? 23 ? 66 ? Il les avait tous perdu de vue au moment de sa tentative de suicide. Deux noms cependant lui vinrent en tĂȘte, Cassius Clay, un homme qui avait rejoint les TĂ©nĂšbres pendant qu'Evan y Ă©tait. Il avait participĂ© Ă  l'intĂ©gration de l'homme dans l'ordre bien que ce dernier avait disparu peu de temps aprĂšs. NĂ©anmoins, il se souvenait de comment le contacter. Par ailleurs, il pensa inĂ©vitablement Ă  Jagang qu'il avait rencontrĂ© et avec qui ils avaient prĂ©vu de se revoir. Mike voudrait-il de lui ? Il ne le savait pas, mais il se rĂ©signa Ă  tout de mĂȘme lui Ă©crire.~ Une vingtaine de minutes plus tard, il avait rĂ©digĂ© deux lettres utilisant le mĂȘme code Mangemort pour Cassius et Jagang, en leur communiquant le lieu de rendez-vous. Il remit les deux enveloppes Ă  son hibou qui trouva lĂ  l'occasion inespĂ©rĂ©e de pouvoir sortir de son perchoir aprĂšs un an sans mission de la part de son maĂźtre. Le volatile devait ĂȘtre moisi pour la mission, certainement risquait-il de se paumer en chemin, mais il n'avait que lui. Le Serpentard gagna ensuite sa chambre ou il rĂ©cupĂ©ra un sac ou il put mettre Ă  l'intĂ©rieur le nĂ©cessaire pour son voyage. Sa seconde baguette, sa cape d'invisibilitĂ© qui pourrait toujours servir, trois bouteilles de whisky pur feu pour fĂȘter les retrouvailles avec ses amis, bref, tout ce dont il avait besoin en somme. Fin prĂȘt, il transplana sur une place oĂč il Ă©tait dĂ©jĂ  passĂ©.°~ Venise, place San Marco ~°~ Le mage noir se retrouva face Ă  la grande basilique qui surplombait la place de sa hauteur, se rappelant un Ă©vĂ©nement qui avait Ă©tĂ© orchestrĂ© par deux de ses anciens confrĂšres Ă  Big Ben en Angleterre. Evan serpenta dans les ruelles adjacentes Ă  la grande place, l'information de Mike avait Ă©tĂ© assez vague, il n'Ă©tait pas certain de trouver l'homme Ă  la ruelle convenue. Le soleil rayonnait de tout son aura sur l'Italie et le sorcier se rinçait l'Ɠil sur les moldues qui arboraient des tenues trĂšs affriolantes. Un constat lui sauta rapidement aux yeux, il Ă©tait le seul con Ă  se balader avec une longue cape par cette chaleur, il attirait donc plein de regards suspicieux et moqueurs qui lui donnĂšrent l'envie de faire quelques meurtres.~ Une dizaine de minutes Ă  arpenter les ruelles, trois ponts passĂ©s et il pu voir de loin deux de ces anciens compĂšres qui semblaient mater des moldus. Azphel en faisait partie ! Jamais il n'avait pensĂ© le retrouver, pourtant il Ă©tait lĂ , enfin il Ă©tait plutĂŽt concentrĂ© dans le dĂ©colletĂ© d'une blondasse Ă  qui le sorcier n'accorda aucun crĂ©dit, ses anciens amis passaient avant. Il se planta devant le sorcier qui fut aussi surpris que lui de le voir quand il eut daignĂ© sortir son regard de la paire de nichons moldu. Les deux hommes se firent une grande accolade, avant qu'Evan ne rĂ©ponde Ă  son En effet j'ai plutĂŽt bonne mine, ce qui est Ă©tonnant si tu savais par oĂč je suis passĂ©... Toi aussi tu as plutĂŽt une bonne gueule ! Je vois que tu as pas perdu ton sens de l'observation ! Hey Mike ! glissa-t-il ensuite Ă  destination de l'homme qui avait organisĂ© cette rencontre, heureux de le revoir Ă©galement. Comment tu vas vieux dĂ©bris ?~ Mike avait Ă©tĂ© un ancien Mangemort, il Ă©tait dĂ©jĂ  prĂ©sent dans l'Ordre tĂ©nĂ©breux quand Evan les avait rejoints, c'est pour cela que le sorcier le respectait et lui accordait beaucoup de considĂ©rations. Il restait maintenant Ă  mettre au clair le but de ce rendez-vous secret, Ă  moins que d'autres ex-Mangemorts Ă©taient attendus ? InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Lun 8 Juil - 1115 Pour la plupart des gens, les journĂ©es se suivent et se ressemblent, pour une petite minoritĂ©, c'est plutĂŽt le contraire. Jagang fait parti de ceux lĂ . Les journĂ©es sont complĂ©tement diffĂ©rentes d'une journĂ©e Ă  l'autre. Il y a les cours qui donnent du piment, les rencontres qui peuvent devenir intĂ©ressantes, comme lorsque Jagang rencontra Azphel et qu'ils passĂšrent la nuit avec deux superbes femmes qui n'avaient pas de cervelles ou une rencontre avec un ancien cagoulĂ© oĂč ils purent discuter de tout et de rien et pratiquer de la magie noire Ă  fond sans nuit que venait de passer Jagang en faisait aussi parti. Comment oublier une nuit magnifique avec quatre donzelles. Seulement une heure de sommeil sur le matin. Les jeunes femmes Ă©taient en train de se rĂ©veiller doucement dans le plus simple appareil. Jagang lui aussi Ă©tait trĂšs peu voir pas du tout vĂȘtu. Les corps les uns contre les autres histoire de se tenir chaud. Puis un petit dĂ©jeuner copieux Ă©tait dĂ©posĂ© sur la table de la chambre. L'elfe de maison avait parfaitement fait son mangĂšrent ainsi complĂštement nu, les uns en face des autres. Les pieds allĂšrent jouer sur des endroits trĂšs sensibles de chacun. C'Ă©tait trĂšs agrĂ©able de se rĂ©veiller de cette façon. Puis un hiboux frappa Ă  la fenĂȘtre de la chambre. Jagang se leva et marcha sans souci jusqu'Ă  la fenĂȘtre, et l'ouvrit. L'hiboux s'engouffra dans la chambre et vient chercher des caresses auprĂšs de la gente fĂ©minine. Jagang avait repĂ©rĂ© le morceau de parchemin sur une des pattes du hiboux. Il prit le parchemin et remarqua un code ancien afin de crypter le message. Il rĂ©flĂ©chit quelques instants avant de prendre la dĂ©cision de mettre tout le monde dehors. Des affaires importantes l'appelaient et il ne voulait pas que des demoiselles Ă©cervellĂ©s s'en mĂȘlent. Ni une ni deux, les demoiselles se rhabillĂšrent lentement, permettant Ă  Jagang de mater leur somptueux corps. Il ne pouvait s'empĂȘcher de reluquer des corps aussi fois seul, il prit une feuille de parchemin, une plume et son encrier pour dĂ©coder le fameux message. Il s'agissait d'un vieux code, mais vu la position de Jagang, ancien ou nouveau code n'avaient aucun secret pour lui. Quel ne fut pas sa surprise quand il dĂ©couvrit que la personne qui l'invitait n'Ă©tait autre que Evan. Un petit voyage Ă  Venise lui Ă©tait alors proposĂ©. Jagang appela son elfe pour le prĂ©venir qu'il allait sortir pendant quelques jours. Ce dernier rĂ©pondit - Que maĂźtre s' oui Jagang comptait bien s'amuser. La rĂ©union avait l'air intĂ©ressante et si elle permettait de rassembler quelques condisciples cela ne serait pas perdu en fin de s'habilla convenablement, une chemise blanche lĂ©gĂšrement ouverte sur son torse, un jean noir et des baskets noirs Ă©galement. Le temps Ă  Venise Ă©tait des plus convenable. Un grand soleil, une chaleur estivale, rien de mieux pour profiter du temps et des femmes en petites tenues.°~ Venise, place San Marco ~°AprĂšs quelques transplanages, Jagang se trouvait dans la plus belle ville de l'amour. Les femmes italiennes Ă©taient Ă  la hauteur de leur rĂ©putation. Jagang se promenait tranquillement dans les rues, il passa sur les ponts, il reluquait les femmes en petite jupe trĂšs moulante. Un vrai rĂ©gal pour les yeux de ceux qui apprĂ©cient la bonne chair. Les femmes se retournaient trĂšs souvent sur son passage, un sourire dragueur sur les lĂšvres ne pouvaient laisser indiffĂ©rents les jeunes arriva finalement en vue de la rue, oĂč on lui avait donnĂ© rendez vous. Il remarqua alors trois personnes qui attendaient lĂ . Evan comme convenu, Azphel, dont il avait dĂ©jĂ  fait connaissance dans des circonstances particuliĂšres et une personne dont il n'aurait pas imaginĂ© voir avec les deux autres, Mike le gĂ©rant du bar les trois balais. Il ne s'attendait pas le voir ici, mais bon, il semblait connaĂźtre les deux autres donc aucun souci Ă  se faire. Jagang s'approcha et dit alors - Bien le bonjour, je suis venu le plus rapidement possible dĂšs que j'ai su. Cela ne m'a pas empĂȘcher de repĂ©rer quelques jolies brins de jeunes femmes. C'est ici qu'on va s'amuser comme des petits fous. Re Un petit tour Ă  VeniseContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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Petit oiseau si tu n'as pas d'ailes Tu peux pas voler Tu peux pas voler Non non non non non Petit oiseau si tu n'as pas d'ailes Tu peux marcher Tu peux marcher hé hé hé Na na na na na na na na na Petit oiseau si tu n'as pas d'ailes Tu peux rien faire en temps qu'oiseau
CommenterN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions gĂ©nĂ©rales d'utilisation de Skyrock et que tu peux ĂȘtre identifiĂ© par ton adresse internet () si quelqu'un porte plainte.. Connecte-toi # PostĂ© le samedi 10 juin 2006 16:54
SciencesOiseau Dans une nouvelle Ă©tude publiĂ©e dans Science, des chercheurs chinois dĂ©crivent 11 spĂ©cimens d’oiseaux fossiles dĂ©couverts dans le nord-ouest de leur pays. Mais ceux-ci prĂ©sentent une particularitĂ© leurs pattes arriĂšre sont dotĂ©es de plumes suggĂ©rant un possible rĂŽle dans le vol, complĂ©mentaire de celui des ailes normales’. © Certains oiseaux fossiles Ă©taient-ils dotĂ©s d’une double paire d’ailes ?Si plusieurs spĂ©cimens d'oiseaux fossiles ont Ă©tĂ© dĂ©couverts au cours des annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, on est encore loin de tout connaitre au sujet de ces animaux antiques. Et une nouvelle trouvaille rĂ©alisĂ©e par des chercheurs chinois vient tout juste de le confirmer Ă  nouveau. Sur un site de la province du Liaoning nord-ouest de la Chine bien connu pour avoir remarquablement conservĂ© de nombreux fossiles datant d’une pĂ©riode situĂ©e Ă  cheval sur le Jurassique et le CrĂ©tacĂ© -150 Ă  -125 Ma, ils ont mis au jour 11 spĂ©cimens tout Ă  fait par l’équipe du palĂ©ontologue Xing Xu, ces oiseaux du MĂ©sozoĂŻque montrent des pattes arriĂšres garnies de plumes relativement dĂ©veloppĂ©es, suggĂ©rant que ces spĂ©cimens n'Ă©taient pas dotĂ©s d'une seule paire d'ailes comme les autres mais bien de deux paires. "Nous savions que des dinosaures volants comme le microraptor avaient quatre ailes. La prĂ©sence de plumes sur les pattes arriĂšre d'oiseaux primitifs est en revanche une vraie nouveautĂ© mĂȘme si ce n'est pas une complĂšte surprise", explique Pascal Godefroit, de l'Institut royal belge des sciences le terme de "biplan" ce type d’avions anciens aux 2 paires d’ailes superposĂ©es ne semble pas coller exactement Ă  la silhouette que devaient avoir ces oiseaux, l'anatomie de ces ailes poussent les scientifiques chinois Ă  envisager un mode de vol utilisant les membres postĂ©rieurs en complĂ©ment du battement des vĂ©ritables ailes. Plus prĂ©cisĂ©ment, Xing Xu estime que ces ailes’ postĂ©rieures auraient pu aider les volatiles Ă  stabiliser leur vol. NĂ©anmoins, cette thĂšse ne peut pour l'heure ĂȘtre Ă©tayĂ©e par des Ă©lĂ©ments de biomĂ©canique. Des "ailes" d'ornement ? C’est pourquoi d’autres chercheurs - non directement impliquĂ©s dans l’étude - suggĂšrent plutĂŽt un rĂŽle ornemental pour cette voilure’ postĂ©rieure supplĂ©mentaire, peut-ĂȘtre utilisĂ©e lors des parades nuptiales, par exemple. Certains palĂ©ontologues supposent en outre qu’elle aurait pu ĂȘtre un attribut plus encombrant qu’utile durant le vol, pour ces oiseaux aujourd’hui disparus. Toutefois, de l’avis gĂ©nĂ©ral, cette dĂ©couverte confirme l’étroite parentĂ© entre dinosaures, oiseaux primitifs et oiseaux actuels."Cela renforce l'idĂ©e actuelle qu'il y a un vĂ©ritable continuum Ă©volutif entre les petit dinosaures carnivores et les oiseaux. Il devient d'ailleurs de plus en plus difficile d'Ă©tablir une distinction claire entre dinosaures et oiseaux", ajoute Pascal Godefroit citĂ© par le photo Science/AAAS
\n\npetit oiseau si tu n as pas d ailes
Petitoiseau si tu n'as pas d'aile 2 655 vues. Tu peux pas voler. Envoyé par Djeez le 28 octobre 2017 à 20h08 Précédent. Touche Q ou GAUCHE pour passer au fichier
Cette citation de Gad Elmaleh Petit oiseau si tu n'as pas dŽailes. Ahh ! Tu peux pas voler ! , fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Gad Elmaleh. Partager cette citation Vous trouverez ci-dessous des illustrations de cette citation de Gad Elmaleh que vous pouvez facilement télécharger ou publier directement sur vos réseaux sociaux préférés tels que Facebook, Twitter, Instagram ou Pinterest. Citations similaires Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires à la citation de Gad Elmaleh Petit oiseau si tu n'as pas dŽailes. Ahh ! Tu peux pas voler !, contenant les termes Petit, oiseau et dŽailes. Voir d'autres citations d'auteurs Découvrez des centaines d'auteurs célÚbres et toutes leurs citations célÚbres. Diana Spencer François HERTEL François Mauriac George WASHINGTON Georges DUHAMEL Gérard DEPARDIEU Henry David THOREAU Hermann HESSE Isaac NEWTON Madeleine FERRON Maxime Du Camp René BARJAVEL Rechercher une citation
Petitoiseau si tu n'as pas d'ailes [x Cale] 2 participants. Auteur Message; Runy Sloop. Messages: 144 Date d'inscription: 03/08/2013 Age: 28 Localisation: Le Pays des Loutres. Humeur: Koul Raoul: Sujet: Petit oiseau si tu n'as pas d'ailes [x Cale] Mar 22 Juil - 8:50 FabriceLuchini : "Acteur ou homme politique, si tu n'as pas une stabilitĂ© psychique exceptionnelle, une vie de famille trĂšs importante, des animaux (pour ceux qui aiment les Petitoiseau si tu n'as pas d'aile (rien) Em7. Tu peux marcher yeh yeh yeh RE; Tu peux marcher lalala RE MIm7. lalalaĂŻ laĂŻ laĂŻ lalalalaĂŻ oh RE. LalalaĂŻ . 4 temps par accord. Capo 2 . Intro: Dsus2 D Dsus4 D Dsus2 ( pas ĂȘtre Ă©crit) Couplet: Em7 E7sus4 X4 D. D (rien quand il chante) .. D. Petit oiseau si tu n'as pas..d'aile D(mĂȘme quand il chante) D Petit oiseau si tu n'as pas d'aile (rien) Em7 Tu peux marcher yeh yeh yeh D Tu peux marcher lalala D Em7 lalalaĂŻ laĂŻ laĂŻ lalalalaĂŻ oh D LalalaĂŻ Bon il Commeles oiseaux qui peuvent voler, ces oiseaux ont des ailes. Cependant, leurs ailes sont plus compactes et elles n’ont pas de base squelettique axiale. De toute Ă©vidence, pierrotavalon berlioz maybe I am a total bitch, ever think about that? PRÉNOM(S) ET NOM(S) ⊱ Pierrot Avalon Berlioz. ÂGE ⊱ vingt ans. STATUT CIVIL ET ORI
Fun rigolo, crasy, Gad Elmaleh, mystic man, petit oiseau si tu n'as pas d'ailes,
Petitoiseau si tu n'as pas d'aile 2 655 vues. Tu peux pas voler. Envoyé par Djeez le 28 octobre 2017 à 20h08 Précédent. Touche Q ou GAUCHE pour passer au fichier précédent. 7 commentaires Tri par popularité Tri chronologique. Suivant. Touche D ou DROITE pour passer au fichier suivant
Petiteoiseau si tu n'as pas d'aile.. Manou452. 0:17. Vidéo Ina - SVELTESSE - yaourt - comme si vous aviez des ailes, vidéo SVELTESSE - yaourt - comme si vous aviez
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DPetit oiseau si tu n'as pas d'aile D. D Em7 x2 D Dsus4 Dsus2 / D. Tu peux pas voler! Tu peux pas voler-er-er!!! D Petit oiseau si tu n'as pas d'aile D. Tu peux march Em7 er yeh yeh yeh. Tu peux march D er lalala. D lalalaï la&i Em7 uml; laï lalalalaï oh. D Lalalaï. Bon il y a des approximations sur le rythme mais écouter le spectacle.
KApk.
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